Elliot, toujours très choqué par la mort de son ancien patron, est fatigué de devoir combattre Mr Robot et décide de reprendre de l'Adderall. Mobley découvre le corps de Romero, abattu d'une balle dans la tête dans la maison de sa mère. Angela est invitée à dîner au restaurant avec Phillip Price et deux directeurs d'E Corp. A la fin de la soirée, elle apprend que les deux hommes sont impliqués dans la mort de sa mère.
Si on vous parle d’Angelyne, il serait plus que probable que vous ne sachiez pas de qui il s’agit puisqu’on est dans la pop culture américaine assez localisée, celle de Los Angeles. Cette Angelyne était la reine des panneaux publicitaires géants, les fameux billboards de Los Angeles. Pour donner du contexte, vers 1981, des panneaux publicitaires mettant en vedette une blonde plantureuse arborant une coiffure bouffante et pas grand-chose d'autre ont commencé à apparaître dans toute la ville. Affichant un seul mot « Angelyne » et un numéro de téléphone, les publicités ont suscité des reportages médiatiques locaux frénétiques. Elle a été pionnière du concept de « célèbre pour être célèbre » avant l’ère des réseaux sociaux. La série débarque sur OCS.
Le désir de comprendre Angelyne, qui elle était, quelle était la motivation derrière les publicités, que vendait-elle, a été l'impulsion derrière l’article du Hollywood Reporter de Gary Baum, "Le mystère de la vraie identité d'Angelyne, la diva des panneaux d'affichage de L.A., est enfin résolu", qui a dévoilé un pan sur la vie de la starlette. C’est à partir de cet article que la mini-série a été créée par Nancy Oliver et développée et showrunnée par Allison Miller (The Resort). Emmy Rossum(Shameless) incarne une Angelyne influenceuse avant les réseaux sociaux, et la série est en soi une histoire par essence hollywoodienne où la performance, la réinvention et l’expression de soi, est synonyme de célébrité et de rêve. Le format faux documentaire biographique permet à cette Angelyne fictive de reprendre le pouvoir sur la narration et elle peut ainsi raconter son histoire. Chaque épisode se concentre sur une personne clé de sa vie et on y voit les opinions et les biais de tout le monde.
Une grande partie du succès de la série repose sur Emmy Rossum, qui fait double emploi dans la série en tant que productrice exécutive aux côtés de son partenaire dans la vie Sam Esmail (Mr. Robot) et en tant qu'interprète de l'icône éponyme. Elle est dans son rôle et totalement engagée à faire d'Angelyne plus qu'une simple pin-up. Et le fait qu’on la voit de l'âge tendre de 17 ans jusqu'à aujourd'hui, à 70 ans, laisse du temps (et beaucoup de maquillage) à Rossum pour parfaire le personnage. Il parait qu’on peut encore voir la vraie Angelyne au volant de sa Corvette rose dans les rues de Los Angeles.
Commentaires (33)
Par moment on s'y perd un peu, et c'est dommage le raccourci avec l'agent du FBI qui trouve l'arcade aussi vite, mais pour le reste... je me suis encore une fois régalé. Tout est hypnotisant. De très beaux textes (sauf la fin), des personnages complexes (comme le nouvel ami d'Eliot). J'ai un peu plus de mal par contre avec les moments d'intimité comme ça, c'est quoi le but ? L'autre avec son SM ou ici pour l'agent qui se fait plaisir c'est quoi le but ? Juste du voyeurisme ? Dire qu'elles se sentent seules à leur manière ? Si c'est pour réduire la fliquette à un cliché sexiste de "vieille fille" comme je l'ai vu en commentaire, tout en dénonçant racisme et sexisme dans un super discours dans le même épisode... C'est nul.
Un peu gros et rapide l'agent du FBI qui trouve direct l'arcade... et cimer la scène avec le vomi j'étais en train de manger mdr Angela m'ennuie toujours autant.
La série mets du temps à démarrer, mais on voit que ça commence à se lancer...c'est pas trop tôt ! Épisode tout de même assez lent.
Il y a de très bonnes scènes dans cet épisode. Du flash-back nous expliquant comment ils sont arrivés dans leur lieu à Elliot qui combat ses hallucinations, en passant par Angela dans sa nouvelle boîte… C’est sombre, bien écrit. On ne comprend pas encore où tout veut en venir et ça gâche un peu certaines scènes que l’on ne comprend pas pleinement mais je reste accroché.
Très très bon épisode...le coup de la degeule par contre...beurk
Cette intro est magique 😍et cet épisode grandioses. Que j'aime cette série bordel
Surprenant !
l’agent du fbi qui trouve toute seule fsociety
Le monologue d'Elliot avec le groupe m'a scotché ! Je pense comme lui depuis des années, et je n'arrive toujours pas encore à comprendre comment les religions peuvent encore existées, c'est quand même impressionnant de voir, en 2016, autant de gens naïfs prier des dieux imaginaires... !
Mr Robot a gagné son droit d'archivage, que c'est chiant et chronophage Rigolo les +1 et les -1. Au 27 août, j'ai un -2 alors que Gigatoaster a +3 pour dire la même chose ....
Je commence a m'ennuyer grave ?. Ils font trainer le retour de Wellick
Il y a des passages vraiment excellents, mais c'est quand même très verbeux. Ils s'écoutent parler, et comme c'est bien écrit, et que la musique fait beaucoup, ça passe, mais ils sont sur la ligne rouge entre pédant et brillant. A voir de quel côté ça va tomber. J'aime bien tous les petits détails en arrière plan, qui passent presque inaperçus, sur la fin du monde en marche - à la manière d'un film catastrophe où les protagonistes ne sont pas encore au courant que le monde court à sa perte.
On est avec Elliot dans cet épisode et donc on comprends pas toujours ce qui est réel ou non. Vivement la suite je suis plus qu'intrigué !
Épisode qui annonce peut-être un début de saison pour l'épisode 4, tous les éléments semblent enfin en place. J'aime beaucoup le contraste vielle fille/agent du FBI, ce personnage va sans aucun doute devenir central et particulièrement intéressant. Grosse surprise avec l'homme qui tentait d'approcher Eliot (j'ai oublié son nom, et si je le décrivais certains criraient au racisme, donc je vais abstenir ;)), là encore ça promet pour la suite ! Série toujours aussi excellente, vivement le prochain épisode !
intrigante la fille de Meryl Streep
"Fuck God". Ce début de saison est tellement au delà de mes espérances. Incroyable.
Je ne reconnais plus la série, je ne sais pas où on veut nous mener, c'est long et chiant, je ne m'attendais pas à ça pour cette deuxième saison... déçu
Un épisode qui remonte le niveau de ce début de saison inégal. Ma curiosité est enfin éveillée :-)
C'est vrai que cette série est une des meilleures en ce moment. La réalisation est impeccable, le jeu des acteurs, fascinant, l'atmosphère générale, pesante. Tout est réfléchi, je suis sur de ne pas tout saisir, mais je ne peux qu'admirer la qualité de travail réalisé pour en arriver à un tel résultat. Cet épisode était encore une fois très bon, la scène où il est vomi était intense, tout comme la scène avec Phillip et Angela, quand il lui remet le disque, un peu avant la musique s'arrête et l'atmosphère devient si lourde, que je me sentais aussi mal qu'Angela. Définitivement conquis par cette série, dont je n'arrive jamais à anticiper ce qui va se passer, et je crois que c'est ce qui est le plus plaisant.
Wow!