Depuis qu'il a découvert qu'il avait un fils, Crane est en colère. Il ne comprend pas pourquoi sa femme lui a jamais dit qu'elle était enceinte. En quête de réponses, il fait appel à Parrish pour tenter d'établir une connexion avec Katrina, depuis le Purgatoire...
Ce n’est pas une destination paradisiaque vers laquelle on vous propose de vous évader cette semaine mais plutôt des mondes merveilleux où tout est possible, du meilleur au pire.
Disponible depuis peu sur Netflix, The Sandman est l’adaptation des romans graphiques de Neil Gaiman publiés entre 1989 et 1996. Quelques 33 ans plus tard, son œuvre culte est désormais sur petit écran. L’auteur est un habitué des adaptations avec Good Omens ou encore American Gods récemment, et le plus ancien Neverwhere. Son imaginaire déborde d’univers fantastiques qui ne connaissent pas de limites, qu’il puise dans les dieux mythologiques ou dans du folklore plus localisé. Avec The Sandman, ce sont les Éternels, des entités supérieures qui sont des représentations antropomorphiques de certains concepts comme Rêve, Mort, Destin, etc. En l’occurence plusieurs feront une apparition dans la série mais on se concentre vraiment sur Rêve, alias le Seigneur Morpheus, qui après avoir été emprisonné pendant un siècle réussit à s’échapper et part à la recherche de ses outils de travail alors que certains de ses Cauchemars se baladent dans le monde éveillé.
Estimé à 15 millions par épisode, cette saison de The Sandman qui n’adapte que deux volumes en réalité (Préludes et nocturnes et La maison de poupée), réussit à convaincre les plus sceptiques. Onirique à souhait, des personnages mystérieux et charismatiques incarnés par des acteurs populaires mais pas hyper renommés non plus, des mini-contes qui s’enchaînent pour former un univers harmonieux. Beaucoup d’autres histoires restent à être racontées et ça se sent.
Commentaires (12)
Ça part dans tous les sens dans cet épisode, et on oublie trop vite le cavalier sans tête..
Tordu. Sans continuité. Scénaristes fumant la moquette. Ça tourne doucement mais sûrement au désastre.
J'ai adoré cet épisode, les rapports père/enfant sont très justes et j'aurai aimé que Parrish s'installe en ville, il peut leur apporter beaucoup de choses.
c'est bien mignon l'histoire du fils mais ça fait pas avancer l'histoire principale :/
Ca part dans le grand n'importe quoi là, non ? Le fils qui est tombé du chapeau pour relancer l'histoire. Mais le cavalier sans tête ?
La fin de l'épisode est particulièrement dérangeante je trouve. Et puis surtout c'est tellement triste ce qui est arrivé à son fils avec ces quatre garces de sorcières.
la fin sauve l'episode
Ça c'était un très bon épisode ! J'adore toujours autant le duo Ichabod/Abbie, et le moment sous le gui m'a bien fait rire ! J'aime beaucoup également les flashback, ou même les moments où on peut voir Katrina. Cette histoire de la "poupée" qui prend vie, c'était bien trouvé, et même si ça ne parle pas toujours du Cavalier sans tête, qui est la BASE de "Sleepy Hollow", je me réconforte avec l'idée que depuis la résurrection de celui-ci, les créatures sont apparues, donc on ne s'écarte pas fondamentalement du sujet. J'ai hâte de voir la suite après cette fin, mais il va falloir attendre…
OMG !!
Je me suis attaché au personnage en particulier Ichabod, dont l'acteur qui l'incarne est vraiment génial. Petit thumbs up pour John Noble qui est une fois de plus incroyable !
Je m'ennuis de plus en plus, c'est vraiment dommage car le jeu d'acteur est remarquable.
Episode tout simplement génial! J'ai beaucoup aimé le moment émotion entre Ichabold et le Golem/son fils et la fin est plus que surprenante :S