If anyone knows anything about bikes, it’s Raoul Taburin, official bicycle dealer of Saint Céron, a lovely village in the South of France. But Raoul has a terrible secret: he has never been able to keep his balance on a bike without using stabilisers. His childhood and teenage years were spent trying to overcome his flaw - in vain. All attempts to tell his secret have also failed. Nobody believes him. When photographer Hervé Figougne moves to Saint Céron, the two men become fast friends. And when Figougne offers to photograph Raoul riding a racing bike along a mountain precipice, the moment of truth has arrived. He does all he can to avoid the photo shoot. But everything goes against him and he finally has to accept his destiny. “At least”, he thinks, “people will have to believe me”. But for Raoul Taburin, things are never that simple...
Comments (2)
Pas du tout ce que j’imaginais, ça se regardé plaisamment mais ça ne restera pas dans les mémoires. J’ai trouvé le Raoul de 20 ans plutôt bien casté par rapport à Poelvoorde.
C’est mignon. Au début du film, pendant le premier quart d’heure, je me suis dit que l’enjeu dramatique n’était pas franchement énorme et que le film allait être long. Et puis non : le scénariste parvient à faire de ce petit rien un truc immense. Le réalisateur s’amuse visiblement beaucoup à mettre cette histoire en scène. On a un mélange de Petit Nicolas (Sempé aussi), Amélie Poulain (même scénariste), un lointain rapport avec Pagnol pour ces petites histoires de petits villages… L’ensemble a donc le charme de ces films là – mais aussi la légèreté, que ce soit dans la réalisation comme dans le message. Parce que les comédiens se donnent (surtout Suzanne Clément et Poelvoorde – Baer m’a semblé un poil en dessous), la costumière et le décorateur ont super bien bossé ! C’est charmant, c’est bien fait, mais ça ne va pas très loin. Comme un tour de manège, on est content devant et puis après, on passe à autre chose – même si la poésie du film reste un petit peu quand même…