Pour la saison IV, c'est varié mais inégal.
Le premier épisode, USS Calister, pastiche de space opera, est très réussi, tant dans la forme que dans la thématique - assez k. dickienne en somme.
Le second, Arkhangel, sur l'obsession de surveillance, présente une thématique actuelle, mais la réalisation est un peu mou du genou ! Pardon Jodie Foster !
Le troisième, Crocodile, est un bon thriller qui frise l'horreur, avec une logique implacable qui conduit au pire et un twist final que d'aucuns ont jugé peu crédible - mais ils oublient qu'on est dans l'anticipation. La thématique a déjà été abordée lors d'une saison précédente de "Black Mirror", d'ailleurs.
Le quatrième, Hang the DJ est intéressant comme thématique et mignon comme scénario, mais la fin est totalement inutile.
Le cinquième, Metal head, , en noir et blanc, bénéficie d'une réalisation très épurée, qui emprunte à divers style (Shining, par exemple ou même duel), avec un minimum de moyen. La thématique en revanche se résume à une classique confrontation robot/humain, sans autres explications.
Le dernier Black Museum, passe en revue diverses histoires, qui donnent un peu le malaise et se conclut sur une fin vengeresse vulgaire et banale. Comme clôture, on fait mieux, dommage.
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