切腹

English: A classic of cinema and Japanese filmography. For some, the black and white visual will block the desire to watch the film, but I would say to you to force yourself a little not to miss a film which is now a reference for hundreds, even thousands of directors. We follow a double story; One in the present, when Tsugumo (our main character) wants to do his seppuku (kill himself in a dignified way) and asks a clan for alms (a home during the time of the Seppuku) Then, about the past; what led Tsugumo to where he is. We are sad for our main character, we understand his anger and revenge. Through Tsugumo's patience and calm, there is a storm brewing that no one sees coming, that storm was also inside Kobayashi, the director, who created a movie that devastated everything; Whether with shots that play perfectly with light to create a visual contrast specific to its cinematographic identity, but also to support the story of the film which opposes two mentalities, one totally black and the other totally white. The evolution of the story, Kobayashi plays with us so that we change our minds on the conclusion of the story, as it progresses, Kobayashi pulls us by the strings like puppets to transport us in a confrontation where we can not decide how this one will end in first place. The rhythm of the film, which also wants to be in great contrast; we are in a calm desert and at other times we return to this storm, we rarely have a in-between, and Kobayashi makes good use of this great opposition of rhythm with the emotions of the characters, for example; when Tsugumo is perceived as a threat, the rhythm of the film is quietly increased like the heart beating in fear. But Kobayashi has also wreaked havoc in Japan with a film that criticizes feudal Japanese society, a collision between tradition and sentiment, what needs to be done and what wants to be done. The director shows that the human can pass before everything, that the feeling must win against the traditions which want to be cruel and insensitive, despite the clear and understandable lesson that he offers through Tsugumo, Kobayashi has chosen to show an end to his story which wants to be more realistic, which wants to be at the same time more shocking; we know well that traditions take over most of the time and, this, at the cost of feelings, even of people's lives. Even if we think that nowadays the human prevails over the traditions, this subject is still in actuality; I let you think about female circumcision (excision) in Africa (cut the clitoris, and can go so far as to sew the lips of the genitals together) which ruins the lives of many children The cult of work in Asia (work, including school work, being more important than human relations) which leads to Japan to be the highest suicide in the world. And if you don't feel targeted; the legalization of the carrying of the weapon in America being regarded as a tradition, causing deaths each day. --------------------------------------------- Français: Un classique du cinéma et du cinéma japonais. Pour certains le visuel noir et blanc va bloquer l'envie de regarder le film, mais je vous dirais de vous forcer un peu pour ne pas manquer un film qui est maintenant une référence pour des centaines, voir des milliers de réalisateurs. On suit une double histoire; Celle du présent, lorsque Tsugumo (notre personnage principal) veut faire son seppuku (se tuer de manière digne) et demande a un clan l'aumône (un logis pendant le temps du Seppuku) Puis celle du passé; ce qui a mené Tsugumo où il en est. On est triste pour notre personnage principal, on comprend sa colère et sa vengeance. Au travers de la patience et le calme de Tsugumo, il y a une tempête qui se prépare que personne ne voit arriver, cette tempête était aussi en Kobayashi, le réalisateur, qui a créé un film qui a tout ravagé; Que ce soit avec des plans qui joue parfaitement avec la lumière pour créer un contraste visuel propre à son identité cinématographique, mais aussi appuyer l'histoire du film qui oppose deux mentalités une totalement noir et l'autre totalement blanche, L'évolution de l'histoire, Kobayashi joue avec nous pour que nous changeons d'avis sur la conclusion de l'histoire, au fur et à la mesure que celle-ci avance, Kobayashi nous tiré par les fils comme des pantins pour nous transporter dans un affrontement où on n'arrive pas à décidé comment celle-ci finira Le rythme du film, qui elle aussi se veut en grand contraste; on est dans un calme désert et à d'autre moment on retourne dans cette tempête, on a rarement de juste milieu, et Kobayashi use bien de cette grande opposition de rythme avec les émotions des personnages, par exemple; lorsque Tsugumo est perçu comme une menace on monte tranquillement le rythme du film comme le coeur qui bat par peur. Mais Kobayashi a aussi ravagé une vague de choc au Japon avec un film qui critique la société féodale japonaise, une collision entre la tradition et les sentiments, ce qui doit être fait et ce qui veut être fait. Le réalisateur montre que l'humain peut passer devant tout, que le sentiment doit gagner face aux traditions qui se veut cruel et insensible, malgré la leçon clair et compréhensible qu'il propose au travers de Tsugumo, Kobayashi a opté de montré une fin a son histoire qui se veut plus réaliste, qui se veut en même temps plus choquante; on sait bien que les traditions l'emporte majoritairement du temps et ceci au coût des sentiments, voir de la vie des gens. Même si on pense que de nos jours l'humain l'emporte sur les traditions, ce sujet reste toujours d'actualité; Je vous laisse pensé à l'excision en Afrique (clitoris coupé pouvant aller jusqu'à coudre les lèvres des parties génitales ensemble) qui ruine la vie de plusieurs enfants. Le culte du travail en Asie (le travail étant plus important que les relations humaines) qui mène le plus grand taux de suicide au Japon. Et si vous ne vous sentez pas visé; la légalisation du port de l'arme en Amérique étant considéré comme une tradition, provoquant des morts chaque jours.