Chapter X
La soirée d'ouverture du show de la fac réserve des surprises et une sinistre rencontre. Les retrouvailles entre amis dans le futur sont riches en émotion.
Starzplay débute aujourd’hui la diffusion de sa nouvelle série originale, Run The World, qui suit une bande d’amies afro-américaines trentenaires à New York. La série nous vient notamment de Yvette Lee Bowser, productrice et showrunneuse de Black-ish et Dear White People.
Run The World nous plonge dans le quotidien de ces quatre New-Yorkaises dans le quartier de Harlem : Ella est journaliste de mode, romantique et ambitieuse, Whitney est la future mariée du groupe, Renée la future divorcée tandis que Sondi est elle toujours étudiante. Très différentes les unes des autres, elles n’en restent pas moins meilleures amies, partageant leurs coups de coeurs et leur coup de gueule sur leurs amours et leur vie professionnelles.
Si Run The World brille par sa légèreté et son humour omniprésent, elle reste une série engagée qui ne détourne pas son regard des problématiques féministes et raciales que ses personnages peuvent rencontrer. Avec son emphase sur les scènes de dialogues longues et incisives, la série ne pèse pas ses mots en adoptant le point de vue de ses femmes naviguant parfois à vue dans leurs vies mouvementées. Avec son ton pétillant et ses personnages attachants, Run The World est une vraie série sur la sororité et la solidarité féminine.
- Sortie originale
- Épisode précédent S04E09 - Chapter IX
- Numéro S04E10
- Pays États-Unis
- Genres Comédie, Drame
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Liens externes
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Dernière mise à jour
24 septembre 2021 - 05:30
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Commentaires (4)
Saison decevante
Une saison bien différente des trois précédentes. J'ai eu beaucoup de mal à m'habituer au côté comédie musicale. J'ai pas du tout accroché, il y avait beaucoup de facilités scenaristiques notamment pour The Order... Dans l'ensemble ça reste une bonne série avec des sujets importants mais une dernière saison moyenne. Le principal est qu'on ait eu droit à une vraie fin
C'était une dernière saison étrange, qui arrive bien après les trois premières, mais j'avais quand même des larmes aux yeux à la fin. J'étais contente de voir Reggie en vie, et je ne sais que penser de cette dernière scène (SPOILERS où il tue le white supremacist). C'est osé de mettre un homme noir dans cette situation, mais en même temps je suis 100% anti-gun donc je ne sais pas. Encore une fois, Dear White People m'a plus intéressée dans le contenu des discussions, des positions représentées par chaque personnage, du miroir que la série forme, plus que dans les intrigues mêmes des personnages. Enfin, j'aime bien les persos et j'ai envie qu'ils réussissent, mais c'est surtout le discours de la série qui est fascinant. Je trouve ça super bien foutu d'avoir mis les petites scènes avec le white supremacist à la fin de chaque épisode, ça faisait monter la tension tranquillement mais sûrement. J'ai aussi kiffé revoir le main cast tous ensemble à la fin, pour chanter la chanson de Sam (ça rend vraiment bien, le côté comédie musicale était parfois un peu long, mais la plupart des chansons sont vraiment ouf et y'a pas un mauvais singer dans le cast), j'étais à fond dedans. Mais le meilleur, ça reste la dernière scène où tous les persos se mettent à te fixer droit dans les yeux, car si nous sommes en train de regarder la série, les persos nous regardent AUSSI, et c'est encore un message profond et les persos traversent le miroir (c'est plutôt une vitre en fait), et c'est ouf. Bref, une série vraiment particulière, mais qui m'a fait pas mal réfléchir et qui restera un petit bijou unique en son genre. ♥ A la revoyure, Dear White People !