Le Docteur et ses compagnons arrivent en 1612 à Pendle Hill, en pleine chasse aux sorcières dans un village proche. Le Docteur se décide à intervenir et chercher les véritables causes des tourments du village proche alors que le roi Jacques arrive en personne pour superviser la traque.
La dernière production d’AppleTV+ vient parler de l’espace, ou plutôt des conséquences d’être allé dans l’espace. Constellation suit Jo (interprétée par Noomi Rapace), une astronaute qui revient sur Terre après une catastrophe spatiale et découvre que des éléments clés de sa vie semblent avoir disparu. Cette série d’aventure explore les confins sombres de la psychologie humaine et relate la lutte désespérée d’une femme pour dévoiler la face cachée des voyages spatiaux et retrouver tout ce qu’elle a perdu. Les deux premiers épisodes sont disponibles sur AppleTV+ sur un total de huit. Créée par Peter Harness (scénariste sur La guerre des mondes ou encore Doctor Who), l’intrigue complexe va mettre en question la frontière du rationnel.
L'astronaute suédoise Johanna "Jo" Ericsson (Noomi Rapace) fait partie d'une équipe de cinq astronautes internationaux qui effectuent une mission de recherche à bord de la Station spatiale internationale en orbite basse de la Terre. L'équipage, qui représente la NASA, Roscosmos et l'Agence spatiale européenne (ESA), est dans l'espace depuis près d'un an pour procéder à des expériences incluant le module de Cold Atom Laboratory de la NASA (un labo qui existe réellement et qui fait des recherches sur la physique quantique), sous la direction de Henry Caldera (Jonathan Banks), ancien astronaute de la mission Apollo. Quand une collision qui détruit une partie de l’ISS a lieu, le commandant de la station va mourir tandis que les autres rentrent à bon port au péril de leur vie. Mais de retour sur Terre, Jo se rend compte que tout ne colle pas par rapport à la vie qu’elle connait avec sa fille et son mari…
En lisant le synopsis, il est difficile de cerner vraiment de quoi va parler la série en soi. En tout cas, elle aborde des thèmes comme la maternité, la vision de la vérité de chacun. Mais dans le fond, la série a une ambition de parler de physique quantique. Est-ce qu’il y a plusieurs univers ? Qu’est-ce qui enclenche le passage dans un monde parallèle ? Le décor de l’ISS et de l’espace sont des fonds parfaits pour un mystère. On comprend rapidement que les deux plans miroirs qu’on voit avec un Henry directeur ou un Henry qui fait des conventions en tant qu’ancien astronaute sont deux réalités différentes. Mais que s’est-il passé alors pour Jo ? En tout cas, les acteurs, surtout Banks, jouent deux personnages différents, et toute la subtilité de leur qualité de jeu est indéniable.
Commentaires (13)
Il semble que le débat soit lancé : avec ou sans liant ? Russell T Davies ou Moffat ? Pour ma part, Moffat m'a trituré le crane avec ses scénari alambiqués, incompréhensibles et inutilement complexes. A tel point que j'ai fait une overdose et abandonné Doctor Who. Là, on revient aux fondamentaux du 9ème et du 10ème. Des épisodes indépendants, rythmés, souvent drôles, et surtout, compréhensibles. Néanmoins, je suis d'accord, il manque quelque chose, un fil rouge. Russell avait atteint la magie, l'alchimie parfaite dans la saison 4 et les spé'. Espérons qu'il retrouvera le chemin...
Un épisode un peu en dessous, pas tant à cause de l'histoire, mais surtout à cause la réalisation surjouée et pas toujours très propre. Dans ces cas-là, on se dit que c'est dommage de changer de réal à chaque fois, il y en a qui n'arrivent vraiment pas à suivre la direction artistique.
Un épisode moyen à cause de tout ce qui concerne l'ennemi. Sinon il y a deux points positifs que je lui accorde volontiers : - Le Docteur a bien participé. - Le duo entre Ryan et le roi (mais pourquoi ce personnage ?).
Perso je trouve que le manque de liant commence à se faire sentir dans mon envie de regarder l'épisode suivant. Rien à dire sur la qualité des épisodes jusque-là, mais je crois que la force de Dr Who c'est d'avoir une histoire globale qui sorte renforcée de chaque épisode. Qu'on en apprenne plus sur Dr Who, sur sa race, sur l'histoire de l'univers, que sais-je encore ! Bien sûr, je suis d'accord avec les commentaires: Moffat en faisait trop. Mais là, c'est un peu l'excès inverse. Je trouve également que les épisodes sont trop centrés sur la terre, peut-être un souci de budget ?
Ca me rappelle l'époque de Russell T. Davies, beaucoup de stand-alone, peu ou pas de liant entre les épisodes. Je préfère tellement ça à la période Moffat où tout est entremêlé, compliqué, tiré par les cheveux. Je trouve que c'est plus simple à suivre, plus intéressant et plus pertinent. Et il y a à nouveau des morts dans Doctor Who, ce qui n'arrivait jamais ou presque sous Moffat. Il y avait toujours du danger mais il n'était pas réellement là vu qu'on ne voyait jamais les conséquences de ce danger.
Excellent, quel humour!
Premier épisode de cette nouvelle saison où je n'accroche pas. Je le trouve surjoué... Et n'avoir que des épisodes qui semblent stand alone, ça fait bizarre. Où est le liant ?
Très bon épisode ! Toujours aussi fan de la Doctor et de sa team Tardis. mention spéciale à Alan Cumming qui m'a fait mourir de rire. Sur le fond, j'ai beaucoup aimé cette petite piqûre historique sur l'Angleterre du 17e avec sa chasse aux sorcières (coucou le patriarcat et sa peur des femmes indépendantes).
épisode ennuyeux les paupières ont bien failli se fermer
j'ai failli m'endormir
Épisode sympa, résolution trop rapide à mon goût. :/ Il manque quand même un épisode à la Moffat, pour moi, grandiloquent et avec du wtf et dont le Docteur trouve une solution à la dernière minute et ça finit bien (oui j'aime bien Moffat moi, même si ses défauts se reflétaient de plus en plus à la fin). J'aime quand même beaucoup les compagnons et ce Docteur.