Frank et son équipe tentent de rassembler des soutiens par tous les moyens dans des États clés. Claire reçoit une nouvelle perturbante concernant un ami de Frank.
La tendance aux adaptations n’est pas près de s’arrêter. On vous parlait récemment de En thérapie sur ARTE ou encore Your Honor sur Canal+, qui sont toutes les deux basées sur des séries israéliennes.
On vous propose un retour aux sources avec quatre séries qui ont inspiré les grosses productions américaines, toutes disponibles sur la plateforme ARTE.tv.
On commence par un monument de l’espionnage, Prisoners of War (titre original Hatufim) qui a été l’inspiration derrière les deux premières saisons de Homeland. Comme beaucoup de séries israéliennes, le concept est d’une efficacité redoutable : deux soldats israéliens sont libérés après 17 ans de captivité et retrouvent une société dans laquelle ils n’ont plus de repères. Alors qu’ils essaient de se réinsérer et de surmonter leurs traumatismes, les services de sécurité israéliens s’interrogent : sont-ils devenus des ennemis du pays pendant leur emprisonnement ?
Commentaires (7)
un peu too-much genre le mec paralyse les réseaux télécoms dans un centre ultra-urbanisé comme Washington ,tranquille,sans être inquiété etc... puis Underwood manipule comme il veut l'opinion publique,les médias, tout le monde quoi,et tout cela les doigts dans le nez!!.....
Excellent et cette fin haha génial 💖
Mouais... Je trouve que cette saison débute vraiment mal. Je ne retrouve plus le même plaisir à voir les manigances machiavéliques des Underwood. J'ai hâte de voir une trame précisé arriver car la, je m'endors... Zzzz...
Haha les citrouilles des Underwood !!!
ridicule !! les mecs ils ont cassé internet (déjà - LOL), et en plus ils mettent tout ça sur le dos d'une organisation terroriste (qui ne le revendique donc pas), et il faudrait les croire ??
Beaucoup aimé cet épisode. Lorsque Frank s'arrête brutalement de casser le 4ème mur pour en revenir au souvenir de Jim, et puis de reprendre tout à fait normalement la préparation de son feu, ou encore le dernier plan avec les Underwood creusés dans les citrouilles, qui montre de qui il faut avoir peur. :)