Alors que la crise s'aggrave en Syrie, le président russe Viktor Petrov cherche à passer un accord avec Claire. L'absence de Tom Yates commence à éveiller des soupçons.
La tendance aux adaptations n’est pas près de s’arrêter. On vous parlait récemment de En thérapie sur ARTE ou encore Your Honor sur Canal+, qui sont toutes les deux basées sur des séries israéliennes.
On vous propose un retour aux sources avec quatre séries qui ont inspiré les grosses productions américaines, toutes disponibles sur la plateforme ARTE.tv.
On commence par un monument de l’espionnage, Prisoners of War (titre original Hatufim) qui a été l’inspiration derrière les deux premières saisons de Homeland. Comme beaucoup de séries israéliennes, le concept est d’une efficacité redoutable : deux soldats israéliens sont libérés après 17 ans de captivité et retrouvent une société dans laquelle ils n’ont plus de repères. Alors qu’ils essaient de se réinsérer et de surmonter leurs traumatismes, les services de sécurité israéliens s’interrogent : sont-ils devenus des ennemis du pays pendant leur emprisonnement ?
Commentaires (11)
Ça change totalement d'intrigue... Maintenant c'est les shepherd VS Claire Underwood... Intéressant cette idée de "pouvoir dans les mains de grands groupes privés" comme l'évoquait Francis dans la saison précédente... Ce n'est pas nul ou moins bien que la saison précédente c'est juste différent. ça c'est par rapport à mon ressenti sur la saison. Concernant cet épisode je l'ai trouvé très poussif, pour une fois il ne se passe pas énormément de chose... et y'a toujours " l intrigue " de Zoe Barnes damn... ça fait 4 saisons que ça traîne pour à chaque fois finir en queue de poisson maintenant oO
Purée,encore 4 épisodes de cette bouse infâme à se farcir....
Je n'arrive pas à comprendre vos commentaires. Je trouve cette première partie de saison très bien fichue. Évidemment, comme dans les saisons 3 à 5, le scénario nous fait penser que Claire est de plus en plus aculée (avant c'était Francis), et il faudra sans doute attendre la fin de saison pour y voir vraiment clair. Il y a des twists très "drama" mais ça a toujours été le cas dans cette série. Pour moi, ça se tient et ça tient ses promesses pour le moment. Robin Wright porte la série sur ses épaules et n'a rien à envier à Kévin Spacey.
Tellement triste d'avoir tué la série comme ça à cause de l'affaire Spacey. Ils n'auraient pas dû faire de suite en voyant cette piètre saison.
Oulaaaaaaaah... On est plus du tout dans le scénar' un peu réaliste "dans les coulisses du pouvoir comme si vous y étiez" en fait. La secrétaire d'état morte / pas morte qui va réapparaître sous une fausse identité en Europe, c'est un trick à la James Bond ! :)
Trois fois que je m'endors en regardant cet épisode... aie ! Pas bon signe !
Pétard que c’était pas terrible cet épisode... Pourtant j’aime bien Petrov mais là il faut que Claire se réveille bordel ! J’espère qu’elle a vraiment un plan derrière la tête...
Mais où ai je déjà vu Patricia Clarkson - Jane Davis? C'est aussi la mère surprotrectrice dans Sharp Object