Rien que du bonheur

Et pourquoi les anglo-saxons, eux, ils maîtrisent super bien le genre de la comédie romantique ? La rencontre improbable, la séparation et comment se reconstruire ou retourner avec son ex… Avec du Hugh Grant ou du Sandra Bullock… Ben là, on a du Bruno Solo. Moins glamour… Et je n’ai jamais réussi à m’intéresser à lui. Alors quand les histoires s’empilent, la mère actrice, le pote comédien barré, l’italien réalisateur et dragueur qui flirte un peu entre tout le monde, à vouloir faire jouer la mère et sortir avec l’ex de Solo… Ça finit par devenir indigeste en plus d’être inintéressant et mou… Un truc qui barre dans tous les sens, une sorte de fourrezitout qui veut démontrer quoi ? Ben rien… Et qui n’est même pas franchement distrayant…