Modern boy, c’est du cinéma coréen comme je l’aime, un mélange des genres improbable : de la romance, des enjeux politiques, des courses poursuites, de la comédie musicale, des bitures, de l’humour, des scènes de torture gratinées, et tout ça, bizarrement, en 1937, juste avant la 2ème guerre mondiale. C’est une époque peu traitée par le cinéma coréen, époque tabou où le pays est sous occupation japonaise depuis des décennies, où certains Coréens ont oublié qu’ils étaient coréens. Park HAE Il est parfait en ravi de la crèche qui se découvre une conscience politique par hasard. On gobe les tonnes de naïveté du personnage car, comme il le dit si bien avec sa bouille d’enfant : « Je suis le roi du romantisme ! ».
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Modern boy, c’est du cinéma coréen comme je l’aime, un mélange des genres improbable : de la romance, des enjeux politiques, des courses poursuites, de la comédie musicale, des bitures, de l’humour, des scènes de torture gratinées, et tout ça, bizarrement, en 1937, juste avant la 2ème guerre mondiale. C’est une époque peu traitée par le cinéma coréen, époque tabou où le pays est sous occupation japonaise depuis des décennies, où certains Coréens ont oublié qu’ils étaient coréens. Park HAE Il est parfait en ravi de la crèche qui se découvre une conscience politique par hasard. On gobe les tonnes de naïveté du personnage car, comme il le dit si bien avec sa bouille d’enfant : « Je suis le roi du romantisme ! ».