Louie (2010) - Sujet Général

http://www.senscritique.com/serie/Louie/critique/20229930

j'étais obligé de partager

En même temps c'était signé.

Ces gens sont navrant-e-s.

J'allais dire,"ah, tiens, on a trouvé le pendant séries de Le Cinéma est politique". Touché(e).

<3


On n'est pas sorti des ronces.

Dernière édition le 15 mars 2013 à 15:29

j'ai perdu une heure à lui répondre, merci kras

J'ai un collègue à qui j'ai fait découvrir "la merveille" ce matin (il regarde Louie), et il a décidé lui aussi de répondre, mais à un autre article. Il se lassera avant eux-lles. Ils sont très réactif-ve-s.

Bon courage en tout cas...

Et merci.

Mais surtout, bon courage.

a écrit :
je conseillerais Parks and Recreation dont la héroïne est féministe

Oh la la, y'a travestissement de la réalité là camarade.
Étant le collègue en question je tiens à signaler que kras ne m'a aucunement fait "découvrir" la merveille puisque j'avais lu l'article avant de le croiser ce matin...
Ceci dit il m'a fait découvrir Louie.

Vérité rétablie, je peux resombrer dans l'anonymat.

Par curiosité, maintenant que j'ai lu le commentaire de Ck, quel est celui de wehm, et sur quel article ?

C'est fou comme tout le monde veut se voir membre d'un groupe d'opprimés.
Surtout quand Louie veut dire que c'est l'individu le véritable opprimé dans une société, pas un modèle de martyr gay/femme/noir/juif

Manu > Sur Biily Elliot, un film pas gaucho-compliant parce que les pauvres ne sont pas des héros lecteurs de Marx mais sont beaufs, et un peu homophobes.

Tekk a écrit :
Surtout quand Louie veut dire que c'est l'individu le véritable opprimé dans une société, pas un modèle de martyr gay/femme/noir/juif

C'est que j'ai dit à la fille, arguments à l'appuie, louie ne serait pas fondamentalement différente si le héros était une femme noire lesbienne, elle m'a répondu "je ne pense pas". Ah.

Moi j'attends un article sur "Girls ou la souffrance de la femme hétérosexuelle blanche".

Je ne sais pas quel âge ont les gens qui tiennent le blog, mais ils sont clairement adultes, et ça me sidère qu'on puisse être comme ça. D'un côté, le fait de s'accrocher autant à une bien-pensance que l'on croît parfaitement applicable au monde réel, et de l'autre, prendre toute œuvre à un premier degré obsessionnel (et accessoirement, complètement inexistant), j'ai été comme ça - si j'ai de la chance, je ne suis pas le seul. Mais jusqu'à douze ans, au plus. Le fait qu'on puisse vivre, au contact des gens et du monde, et rester comme ça à l'âge adulte, ça me dépasse.

Anything to protect our egos !

Pour moi, voir tout sous le prisme "dominants/dominés", c'est vraiment des développements de grognasses mal baisées.

Ca me fout la gerbe, vraiment. De la posture pseudo-intellectualisante.