Retour chez ma mère

Une Comédie-Française banale mais que j’ai quand même bien noté parce que les petits moments de désastres familiaux lors des réunions familiales rappelle à tous tes souvenirs personnels, Étonnamment j’ai beaucoup rigolé et j’apprécie de plus en plus la comédienne Alexandra Lamy

Je n’avais pas lu le résumé et ne m’attendais pas du tout à ça – plutôt une mère infantilisante, une femme redevenant ado par obligation ou goût… Bref, je m’attendais à une relation mère-fille centrée sur les retrouvailles obligatoires des deux. On part sur tout autre chose avec la mère qui a un nouvel homme dans sa vie. Le film propose un paquet de scènes amusantes sur cette cachotterie (très bon minutage du repas par Balasko ou la scène du train) et un quiproquo autour d’Alzheimer (excellente scène de repas sur le repas picard…). Pourquoi autant de personnes dans ce film, de petites histoires annexes pas indispensables qui n’apporte pas grand-chose, la dispute entre frère et sœur, la préférée, les chamailleries autour de l’argent, des thèmes qui ne débouchent sur rien… Au final, un final distrayant ; pas mémorable mais pas désagréable non plus.

Bon divertissement...Et une Josiane Balasko MAGNIFIQUE!

Rien de nouveau pour cette comédie. Plus un téléfilm qu'une œuvre de cinéma. A regarder s'il pleut et et que rien de plus urgent ne vous attend.

Un beau film un peu mou mais on ne recherche pas non plus de l'action dans une comédie dramatique...qu'on se le dise !!! Une Alexandra plus belle que jamais Une Mathilde somptueuse Une Josiane phénoménale... Je me suis régalé.

Une comédie sympathique, rien d’extraordinaire en soi, mais de bons comédiens et au final divertissant...

Alors déjà vous enlevez toute la partie comédie, ça ne décolle pas, ça s'enterre même! Et si vous rigolez... bah je suis désolé pour vous :/ Véritable téléfilm qui aurait pu être diffusé à la place de notre naine ou inspectrice nationale. C'est mou, quand ça bouge c'est déséquilibré, c'est fade, c'est simple voire simpliste. Encore un film bien français et dans le mauvais sens du terme avec UNE SEULE rebeuh et encore qui est à un guichet, où ça parle de Château Angelus, Marie-Claire, Courchevel, un appart inabordable pour 90% des Franciliens, un auto-entrepreneur, un "riche" et au malheur une architecte qui a fait faillite et c'est dur la vie. Oui oui je viens bien de résumer en quoi consiste cette bouse qui entâche le ciné hexagonal. Si! Balasko se sauve elle-même, elle a ça dans le sang c'est pas croyable!

Une comédie divertissante !