En novembre 1975, débute le deuxième procès de Pierre Goldman, militant d’extrême gauche, condamné en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité pour quatre braquages à main armée, dont un ayant entraîné la mort de deux pharmaciennes. Il clame son innocence dans cette dernière affaire et devient en quelques semaines l’icône de la gauche intellectuelle. Georges Kiejman, jeune avocat, assure sa défense. Mais très vite, leurs rapports se tendent. Goldman, insaisissable et provocateur, risque la peine capitale et rend l’issue du procès incertaine.
Commentaires (6)
Je suis sans doute passé complètement à côté, mais je n’ai rien compris à la passion que ce film a déclenché ? Je n’ai rien ressenti des dimension culturelle et Religieuse Liées à l’affaire. Certes, les costumes et l’ambiance des années 70 sont bien retranscrits à l’écran mais je ne vois aucun intérêt cinématographique à ce huis clos, il n’y a aucun suspens, aucun retournement de situation. Je suis peut être passé complètement passé à côté de sa dimension politique ?
le sujet est bon, la narration est mauvaise à mon gout
Sujet très intéressant et en effet encore actuel et interprétations exceptionnelles. Seul bémol de taille, le choix du format d’images en 4/3 qui m’a déconcerté comme d’habitude.
Vraiment excellent ! Ce huit clos intense,c’était dingue ! Arieh Worthalter est magistral et Arthur Harari hyper bluffant Je le trouve bien meilleur à Anatomie d’une chute en terme de film de procès Seul bémol : un poil long à certains moments quand même
Excellent! C’est fou à quel point tout ce qu’il dit est encore vrai. La police raciste, la justice complice, on est encore jugés sur son passé plutôt que sur des faits. Un film d’une grande réussite