Love, Death & Robots (Netflix) : la saison 4 arrive, toujours plus folle et inventive

Avec Love, Death & Robots, préparez-vous à un nouveau tourbillon de récits aussi inventifs que déroutants. Créée par Tim Miller (Deadpool) et produite par David Fincher (Fight Club), la série est devenue un phénomène pour les amateurs de science-fiction, d’animation et d’histoires qui ne ressemblent à aucune autre.

Une cousine déjantée de Black Mirror

À première vue, Love, Death & Robots partage beaucoup de points communs avec Black Mirror : des épisodes indépendants, des univers futuristes ou dystopiques, une critique de la technologie et une volonté de bousculer le spectateur. Mais là où Black Mirror opte pour le réalisme et l’angoisse sociale, Love, Death & Robots choisit le surréalisme, l’animation sous toutes ses formes et un mélange de genres plus large — de la comédie absurde au gore pur, du space opera au conte philosophique. Si Black Mirror nous met face à notre réalité, Love, Death & Robots s’amuse à l’exploser.

Chaque épisode de cette quatrième saison est une surprise. Parmi les histoires les plus attendues :

• Can’t Stop, signé David Fincher, transforme les Red Hot Chili Peppers en marionnettes animées pour un concert complètement halluciné.
• Golgotha suit un poète interné confronté au diable en personne dans une lutte pour l’âme du monde.
• The Other Large Thing raconte les ambitions mondiales d’un chat mégalo aidé par un robot majordome, doublé par John Oliver.
• The Screaming of the Tyrannosaur propose un affrontement épique entre mutants et dinosaures dans un univers post-apocalyptique.

Le casting vocal n’est pas en reste, avec Kevin Jackson, Christian Serratos ou encore Joe Manganiello, qui donnent vie à ces personnages hors normes.

Une série animée, mais pas pour les enfants

Si Love, Death & Robots est animé, ce n’est en rien un dessin animé pour enfants. Les thématiques abordées — violence, sexualité, guerre, religion, IA, apocalypse — en font une série résolument adulte, souvent provocante, parfois même dérangeante. Elle séduit par sa liberté de ton, son audace graphique et sa capacité à interroger notre monde à travers des histoires fantastiques.

Si Black Mirror vous a fait douter de votre téléphone, Love, Death & Robots vous fera douter de votre réalité toute entière. Plus courte, plus radicale, plus fantasque, cette anthologie est un ovni visuel et narratif qu’on ne voit nulle part ailleurs. Avec cette quatrième saison, elle confirme son statut de série culte pour les amateurs d’animation, de SF et de récits qui ne laissent personne indifférent.

La saison 4 est disponible dès le 15 mai sur Netflix. Et pour ne rien manquer, vous pouvez l’ajouter à votre compte BetaSeries, recevoir des rappels et découvrir des séries du même style à travers notre système de recommandations intelligentes.