La première semaine de liberté de Jacques, qui vient de passer cinq ans derrière les barreaux, aux côtés de Francis, Didier, Camille et les autres, dans le petit monde des « débrouillards » du Saint-Ouen d'aujourd’hui.
Mouais…
Alors d’un côté, on peut pas dire que ça soit mauvais… Les personnages fonctionnent, même s’ils n’ont qu’une expression chacun…
L’histoire fonctionne, même si elle pourrait aussi bien se lire dans un magazine de faits divers…
La réalisation et le montage tienne la route, comme un téléfilm de l’après-midi…
Ce qui nous fait passer de l’autre côté : globalement, c’est assez fade et peu intéressant…
Il y a bien quelques scènes qui retiennent l’attention, autour de Cornillac majoritairement même s’il est mono-expressif… Mais sa dette de jeu, sa copine, c’est presque plus palpitant que le reste sans l’être vraiment…
Bref, un film laborieux mais qui marche si on ne recherche pas l’originalité.
Commentaires
Mouais… Alors d’un côté, on peut pas dire que ça soit mauvais… Les personnages fonctionnent, même s’ils n’ont qu’une expression chacun… L’histoire fonctionne, même si elle pourrait aussi bien se lire dans un magazine de faits divers… La réalisation et le montage tienne la route, comme un téléfilm de l’après-midi… Ce qui nous fait passer de l’autre côté : globalement, c’est assez fade et peu intéressant… Il y a bien quelques scènes qui retiennent l’attention, autour de Cornillac majoritairement même s’il est mono-expressif… Mais sa dette de jeu, sa copine, c’est presque plus palpitant que le reste sans l’être vraiment… Bref, un film laborieux mais qui marche si on ne recherche pas l’originalité.