La vie d'un grand magasin parisien, les Grandes Galeries, dirigé par un nouveau PDG, M. Lepetit, qui va chercher à rentabiliser l'entreprise en basant sa politique sur le facteur humain.
Un film chorale, avec son avantage et inconvénients.
L’avantage, c’est qu’il se passe toujours plein de choses puisqu’on suit plus d’une vingtaine de personnages. Pas de temps mort, la petite vieille rigolote, le mec coincé amusant, le petit couple mignon, le stagiaire, le vigile black qui se la pète un peu, les rayons peinture, jouet, etc.
L’inconvénient, c’est que chaque personnage est un peu caricatural, pas le temps de développer une personnalité complexe ou une réelle évolution. Tout le monde est assez simpliste et d’un bloc.
Et puis l’histoire est vraiment hachée à suivre tout ce petit monde, on passe rapidement d’une formation à un changement, du saut à l’élastique à Noël, du déguisement de Carnaval au marathon…
Au final, on a quelque chose de sympathique, pas désagréable en soi parce qu’on a plein de petits « sketchs », mais une trame un peu faible, pas aboutie, dont le message n’est pas clair : tous ensemble, on s’en sort ? A quoi bon puisque le système est pourri ? Il y a des patrons sympas ? Quoi qu’on fasse, les gens ne s’entendront pas ?
Gentillet.
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Un film chorale, avec son avantage et inconvénients. L’avantage, c’est qu’il se passe toujours plein de choses puisqu’on suit plus d’une vingtaine de personnages. Pas de temps mort, la petite vieille rigolote, le mec coincé amusant, le petit couple mignon, le stagiaire, le vigile black qui se la pète un peu, les rayons peinture, jouet, etc. L’inconvénient, c’est que chaque personnage est un peu caricatural, pas le temps de développer une personnalité complexe ou une réelle évolution. Tout le monde est assez simpliste et d’un bloc. Et puis l’histoire est vraiment hachée à suivre tout ce petit monde, on passe rapidement d’une formation à un changement, du saut à l’élastique à Noël, du déguisement de Carnaval au marathon… Au final, on a quelque chose de sympathique, pas désagréable en soi parce qu’on a plein de petits « sketchs », mais une trame un peu faible, pas aboutie, dont le message n’est pas clair : tous ensemble, on s’en sort ? A quoi bon puisque le système est pourri ? Il y a des patrons sympas ? Quoi qu’on fasse, les gens ne s’entendront pas ? Gentillet.