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The Silencing

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En quête de la vérité.

Un ancien chasseur s’engage dans un jeu du chat et de la souris avec la shérif Alice Gustafson, toujours à la recherche de celui qui a kidnappé sa fille il y a quelques années.

Commentaires (3)

J'ai visionné ce film parce que les thèmes abordés m'intéressait mais aussi pour la présence de Zahn McClarnon - un acteur que j'apprécie énormément. Alors, le film n'est pas exceptionnel, ça ne casse pas trois pattes à un canard... Ca se regarde bien, disons, mais sans plus. Par contre, je tiens à souligner la grande beauté des paysages, ça m'a donné envie d'aller me balader dans ce genre de coin !

Chatcheshire

__ Chasse, picole et dissection Et bien, ça fait rudement plaisir de se faire servir une telle tranche de divertissement, emballée de belle manière et, n'en déplaise aux ultimes défenseurs de la cohérence, dans l'ensemble soignée niveau script. Balayons d'emblée le point noir. Quel dommage de terminer les hostilités par un dernier quart d'heure que l'on sent moins écrit et lors duquel la cohérence se fait un peu la malle. En effet, à partir du moment où, fraîchement rafistolé, Nikolaj décide de solder tout compte lui même, ça part un peu en freestyle mais on peut comprendre l'intention et il est vrai qu'au moins la fin est assumée dans son jusqu'au boutisme. Cette réserve mise à part, c'est du tout bon pour moi, The Silencing est un polar tendu qui déroule mine de rien un contexte sacrément nourri en à peine 1 heure et demie de bobine. A la fois l'histoire d'Annabelle Wallis et son frère, ainsi que le trauma de Nikolaj Coster-Waldau, peu original mais crédible, permettent à Robin Pront de construire une intrigue qui fait corps en se jouant du spectateur, ce dernier prenant les évènements de haut en se disant qu'ils sont bien cavaliers pour se faire renvoyer dans les cordes quelques minutes plus tard lorsqu'ils font sens. Dans le ciné de genre efficace, les représentants de ce calibre sont rarissimes, d'autant plus que techniquement c'est du travail d'orfèvre, toutes les promesses qui avaient été faites à l'occasion du premier film du bonhomme, Les Ardennes sont plus que tenues. Photographie toujours ciselée et portée par des jeux de lumières qui mettent en valeur les lieux filmés. Bien sur il faut regarder le film sur un écran permettant d'apprécier les contrastes, Robin Pront faisant son mantra de jouer sur les sources de lumière, souvent marquée par une dominante de couleur chaude, pour rendre pittoresque chaque décor filmé. Et puis, damn, autant de rigueur, que ce soit au niveau de la mise en scène, mais aussi de la direction d'acteurs, puisqu'à mon sens à la fois Nikolaj Coster-Waldau mais aussi Annabelle Wallis proposent chacun une performance solide, du haut d'un deuxième fait d'arme, laisse augurer de belles choses à venir. En tout cas je serai au rendez-vous. Alors malgré la petite sortie de route dans les derniers instants, il serait malvenu de ma part de modérer mon enthousiasme parce que le dernier geste fut un peu moins marquant que le reste. Je préfère surnoter un poil, en sachant que de toute manière ce genre de film se fait éclater niveau moyenne, alors qu'il est indéniable qu'il propose des moments mémorables, et que certaines idées d'écriture bien malaisantes font leur effet, comme ce petit embrochage plein cadre dans la cabane ou l'origine de la marque que le traqueur appose sur le cou de ses victimes. Brrrrr !

osorojo

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