Dare to say his name.
Anthony and his partner move into a loft in the now gentrified Cabrini-Green. After a chance encounter with an old-timer exposes Anthony to the true story behind Candyman, he unknowingly opens a door to a complex past that unravels his own sanity and unleashes a terrifying wave of violence.
Comentários (7)
Wah la claque il est trop bien 😍😍😍😍🤯
Horrible c est d une tristesse ce film
Ridicule
Mouais. Ça se laisse voir mais on est très loin du choc que j'ai ressenti à la vsion du premier film avec Virginia Madsen et Tony Todd, film que je ne me lasse pas de revoir. Et la musique de Philip Glass m'a énormément manqué.
Les mauvaises critiques sont abusées. Bah oui, c'est -12 ans, beaucoup moins sanglant, beaucoup moins effrayant visuellement parlant. Mais le propos du film est une réinvention totale du mythe, beaucoup plus sociale et politique encore que le premier film. C'est produit par Jordan Perle hein, qui a une vision de la société quasiment hybride entre Spike Lee et John Carpenter. Bien sûr, que les "blancs vite offusqués" vont péter un plomb comme ils l'ont fait devant Antebellum (tiens donc, pourquoi ? D'où vous vient-elle, cette émotion ? 🙄) ! Mais on s'en fout non ? Quand on aime le premier Texas Chainsaw Massacre, New York 1997, Invasion Los Angeles, Hellraiser, Candyman, La dernière maison sur la gauche ou À nightmare on Elm Streets, normalement, on se classe plutôt à gauche sur l'échiquier politique... ou alors, on a rien analysé et rien compris au propos des films qu'on aime. Bref, passé le sujet de la polémique autour du film, celui-ci est très soft dans sa violence, mais très abouti visuellement. C'est une très bonne idée pour raccrocher un peu les ados à des idéaux plus égalitaires, en ces temps où l'idéologie vire au totalitarisme... Excellent film pour faire entrer un adolescent dans le coeur du mythe Candyman.