The End

Je pense que cette série est parfaite pour les personnes ayant un lien émotionnel avec l’histoire car ayant eu les livres. Mais me concernant, en ayant pas lu les livres et découvrant tout au fur et à mesure j’ai trouvé ça assez redondant et j’ai assez souvent décroché.. ce qui m’a tenu c’est l’univers visuel a la Tim Burton qui était vraiment splendide mais j’ai trouvé l’histoire en elle-même très ‘mouais’ 😒 Mention spéciale à la petite actrice jouant Prunille 🤩🥺

Un peu décevant cette fin je m’attendais à mieux.

Du coup... pourquoi et qui a déclenché l’incendie des parents Baudelaire? Et il ne devait pas en rester un vivant, à un moment donné on se demandait lequel ? Ou j’ai loupé une info

Je suis plutôt mitigé sur cette fin. Elle était émouvante c'est sur mais je m'attendais à mieux. Au final on peut se dire tout ça pour ça ? Cela dit cette série fait parti d'une des rares qui est resté bonne jusqu'à la fin elle va me manquer...

La fin d'Olaf est super intéressante. L'épisode précédant nous en apprenait déjà beaucoup sur ce qui l'avait amené à changer. C'est chouette de le voir se réhabiliter un petit peu en aidant Kit. Ces deux derniers épisodes permettent de donner davantage de profondeur à ce personnage qui était sans nuances jusque là. De même j'ai trouvé hyper intéressant d'apprendre que la fameuse Béatrice dont parle toujours Lemony Snicket était la mère des orphelins Baudelaire (on le comprend déjà dans l'épisode 6). A chaque début d'épisode, on nous prédit tellement une fin tragique pour les enfants Baudelaire que j'ai été soulagée de voir qu'ils s'en sortent à la fin. "Peut-être que si nous pouvions jeter un œil sur les crimes, les malheurs, les folies qui nous attendent nous resterions tous au creux du ventre de nos mères, si bien qu'il n'y aurait plus au monde qu'une cohorte de femmes très enceintes et de mauvaise humeur." Fin positive aussi pour la famille Virlevent ainsi que la troupe d'acteurs d'Olaf. Que d'émotions dans ce dernier épisode ! Les orphelins Baulelaire vont me manquer ! "Et certaines histoires continuent, même après que leur narrateur ait arrêter de les raconter."

J'ai peut être zappé un truc, mais pourquoi dans le flashback des parents Beaudelaire qui quittent l’île, ils disent qu'ils appelleraient leur premier enfant Violette ou Lemony ? Qui est Lemony Snicket dans toute cette histoire par rapport à la famille Beaudelaire (a priori Béatrice a épousé un Beaudelaire et non pas Lemony Snicket vu le nom des enfants) ?

Episode plus faible que la moyenne mais conclusion satisfaisante même si j'aurai aimé en savoir plus sur l'issue d'autres personnages. Mais par contre j'ai aimé les dernières minutes

J'ai adoré retrouvé cet univers, les personnages des livres, voir Béatrice II à la fin bien grandis, le sucrier (d'après quelqu'un sur internet, c'est logique. Le sucre permet d'immuniser quelqu'un, donc la personne qui contrôle le sucrier décide qui à le droit d'être immunisé ou non - despotisme/dictature, ce qui correspond à Esmé, alors que les pommes permettent d'en guérir, pour tout le monde, pour un monde plus juste, et sauver des vies sans finir juge de qui doit vivre ou mourir). J'ai personnellement adoré la série ! Les acteurs exceptionnels, les rajouts géniaux, voir les membres de VDC en fond d'histoires alors qu'ils n'étaient déjà plus que des fantômes dans les livres (sauf Kit et co), cet univers abracadabrantesque, cette fin heureuse malgré tout (plus que dans le livre)... ! J'en garde un très bon souvenir et ça me redonne même envie de relire les livres.

J'avais lu les livres étant gamin et j'avais été très déçu par la fin. Il me semble même que les livres ne fournissaient aucune explication quant au sucrier, donc j'attendais quelques réponses dans cet épisode, et finalement... Je trouve dommage d'avoir voulu faire tourner tout le mystère autour d'un objet pour une résolution aussi simplette. L'histoire du schisme et de VFD est très intéressante en soi. En corrigeant le sucrier des bouquins, je pense que la série aurait vraiment pu gagner sur la fin. Mais bon, la série reste très quali, respectant bien l'esprit des bouquins (peut être un chouilla moins que le film avec Jim Carrey - qui certes modifiait un peu l'histoire, mais réussissait parfaitement à mélanger glauque et absurde - je trouve que l'absurde l'emporte parfois un peu trop dans la série).

Je trouve ça bien dommage parce que plusieurs des personnages restant ont leur happy enfin mais au final que deviennent les Baudelaire ? Et les Beauxdraps ? Et le sucrier, on nous en a autant parlé pour au final complètement l’abandonner. Sinon mention spéciale pour le personnage de Prunille que j’adore !

C'était la meilleure saison des trois c'est la seule dont j'ai réellement envie de voir la suite, et en savoir plus, paradoxalement c'est la saison finale. Cette série n'aura jamais été exceptionnelle, elle aura fait le taf, on va dire ! Je ne sais pas vraiment si cette série méritait d'être une série et d'être aussi longue. C'était vraiment pas nécessaire, la saison 1 et 2 n'ont quasiment servi qu'à fill.

Ratage complet, échec et naufrage. L'un des problèmes les plus importants des précédents épisodes était qu'Olaf ne laisserait jamais les orphelins en paix à moins qu'on ne le tue, chose moralement impossible qui plaçait nécessairement les orphelins dans une position de perpétuelle souffrance, questionnant donc la moralité du meurtre et flouant les frontières entre bien et mal. Olaf n'apparaissait jamais comme parfaitement aimable et on admettait pleinement sa cruauté, qui serait horrible s'il n'était pas un idiot. Mais, dans ce dernier épisode, alors qu'avant nous comprenions le sens du "Look Away" (la fin n'est pas bonne, et les deux camps semblent s'être auto-détruits pour ne laisser que quatre orphelins dont Olaf qui semble gagner à moitié), là nous avons un semblant de happy ending où le questionnement moral sur Olaf est supprimé par sa mort en sacrifice où il obtient une rédemption absolument inutile à la base dans une scène ridicule et forcée. Ce dernier épisode piétine figurativement le cœur de la série, tout ce qu'elle a bâti jusqu'à présent et apparaît donc comme forcé. Je ne sais pas si cette histoire était présente dans les livres mais quel gâchis, vraiment.