Martin aime les roses jaunes, le foot et les poemes de Paverse. A la piscine ou il est surveillant, il croise Lucas, le maitre nageur. Coup de foudre du brun electrique pour le blond reserve. Martin le poursuit jusque chez lui, ou son amie Lise l'accueille avec sympathie. Toujours effarouche et de plus en plus trouble, Lucas apprend par son pere, medecin a l'hopital, que Martin est atteint du sida, qu'il n'y aura pas de sursis. Par pitie, croit-il d'abord, par amour, s'avoue-t-il vite, il choisit de partager les derniers mois de la vie de Martin.
Commentaires (2)
marseille qui crie trop fort, un film fort pour l'époque
Téléfilm étrange, poétique, presque théâtral malgré le décor ensoleillé de Marseille, mais précurseur, préfigurant le récit militant de 120 battements par minutes. Le poète, c’est Cesare PAVESE.