Les Rivières pourpres
Le mal atteint de nouveaux sommets.
Le même jour, à trois cent kilomètres de distance, deux flics se voient confier deux affaires singulières. Le commissaire Pierre Niémans, homme d'expérience et ex-gloire de l'anti-gang, possède un instinct sans faille mais cache de douloureuses angoisses. Il se rend à Guernon, une ville universitaire des Alpes, sur les lieux d'un meurtre avec mutilation. Max Kerkérian, ex-voleur de voitures vif et solitaire, a intégré les rangs de la police par amour de la nuit et du danger. Il enquête à Sarzac sur la profanation d'une tombe, celle d'une enfant disparue en 1982.Bientôt, les deux enquêtes se rejoignent et les meurtres se multiplient. La vérité dépassera l'imagination des deux policiers et les emmènera en haute altitude, aux portes de la mort et de la glace.
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Réalisation
Mathieu Kassovitz
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Scénario
Jean-Christophe Grangé
Mathieu Kassovitz
- Durée 1 heure 45 minutes
- Genres Crime, Mystère, Thriller
- Langue Français
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Dernière mise à jour
9 avril 2024 - 00:46
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Commentaires (6)
Fidèle au livre de très bons acteurs et une mise en scène fin inattendue
Un très bon thriller français. Y'a certes pleins de défauts mais Jean Reno en flic froid et rustre fait oublier tout ça! C'est dommage qu'en France on ne fasse pas plus de thriller en films quand on sait le nombre d'auteurs talentueux que l'on a.
Comme quoi, les français aussi savent faire de bons thrillers, quand ils s'en donnent les moyens.
Pas mal. L'histoire est intrigante, les acteurs et les paysages excellents. Mais on a du mal à tout comprendre du premier coup, je pense que c'est du à l'adaptation du roman (que je n'ai pas lu). C'est dommage, on sort du visionnage un peu déçu par ça.
Film très surestimé à son époque. C'est simple : c'est n'importe quoi. Déjà que c'est issu d'un roman de gare mêlant sociétés secrètes, eugénisme, nazis et université (ouais, on est en plein dans du Dan Brown, mais en bien pire); Kassocitz a eu l'idée de pourrir encore plus ce scénario improbable en lui offrant une réalisation plus débile encore. On se retrouve ainsi par exemple avec des néo-nazis fans de Tekken 3 qui entament un combat contre une caricature de flic caillera, sur la bande sonore du jeu... Mieux encore : l'un des néo-nazis fait de la capoera, tandis que Vincent Cassel se transforme en professionnel du karaté. Des scènes comme celle-ci, il y en a à foison. Parfois volontairement drôles mais qui tournent rapidement au ridicule (les gendarmes chez les bonnes soeurs), et parfois totalement involontairement (les dialogues de résolution de l'enquête sont généralement complètement ahurissants). Seul grosse prise de risque du film : pas mal de violence - sans non plus oser parler de gore, on est loin d'un Fulci - pour un film de cinéma français des années 90. C'était assez osé de la part de Kasso, reconnaissons-lui au moins ça. Bref, je mets tout de même 2 étoiles, pour l'effort, et pour les barres de rire que j'ai eu.