Non accettare i sogni dagli sconosciuti
L'amour n'a pas de frontières
Jamais Massimo, un nageur professionnel italien et Vladimir, un Reporter international Russe, n’auraient pu, un jour, imaginer que leurs destins se croiseraient. Pourtant lors d’une compétition internationale de natation, le regard de Vladimir, envoyé pour couvrir l’événement, est subjugué par le bel athlète italien. Quand les deux garçons se rencontrent enfin, l’attirance est réciproque et les cœurs s’embrasent immédiatement…Mais les choses se compliquent aussi vite que leur amour grandit, tous deux devant faire face aux différences culturelles qui les séparent… Pas facile pour Vladimir d’assumer ce nouvel amour et de vivre au grand jour une relation avec un garçon quand son pays vient tout juste de voter une panoplie de lois anti-Gay. Leur amour survivra-t-il aux obstacles de la vie ?
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Réalisation
Roberto Cuzzillo
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Scénario
Roberto Cuzzillo
- Durée 1 heure 10 minutes
- Genre Romance
- Langue Italien
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Dernière mise à jour
17 avril 2024 - 11:18
sur 11 bases de données
Commentaires (4)
Le pitch n’est pas top, amis de Betaseries… Massimo n’est pas nageur mais apnéiste, Vladimir n’est pas reporter mais traducteur pour la compétition, et il ne s’agit en rien d’une romance (vont-ils surmonter les obstacles pour nous gratifier d’un beau happy end ?) mais d’un film quasi expérimental qui mêle images de propagande historique (aaaah les défilés de chars de fleurs devant un Staline paterne…) et moderne (scènes d’humiliation de gays russes à peine soutenables, reportage sur un happening d’activistes LGBTQ+), voyages intérieurs de Massimo et visites touristiques de Saint-Petersbourg, inserts d’un film muet de 1915 de Maciste et d’une lettre d’Oscar Wilde qui font écho à un amour pour lequel Vladimir et Massimo doivent se battre : la distance, les différences culturelles, la politique de répression des libertés individuelles de Poutine. C’est poétique et désincarné, c’est fourre-tout et bordélique, complètement déroutant la plupart du temps mais j’ai surtout eu le sentiment d’un film quasi impressionniste et qui se révèle cruellement d’actualité en 2022. J’ai pas envie de crier au chef d’œuvre mais presque, tant le message politique est fort, à la fin du film et encore plus 7 ans après.