Montage américain d'épisodes de Force Five Grandizer, par Jim Terry productions. Diffusé sur la chaîne câblée premium Shotime et sorti sur VHS au début des années 80. Grandizer mettait en vedette Johnny Bryant, alias Orion Quest. Il était apparemment le seul survivant de la planète Antares, qui avait été détruite par l'escouade de soucoupes volantes de Vega le Fort. Le fer de lance de l'attaque était le grand robot de combat Grandizer, que Vega espérait utiliser pour l'aider à mettre l'univers entier sous son règne. Mais ce rusé Orion a volé Grandizer et l'a emmené sur Terre, où il a caché le robot et a pris une identité humaine. Orion Quest a combattu le mal tout seul et était un héros très populaire de la série Force Five. Comme Superman, il avait une double identité et venait d'une planète extraterrestre, ce qui lui donnait plus de force et d'agilité que ses homologues humains. Il s'agit du long métrage de 105 minutes qui condense toute la série en un seul film en langue anglaise.
La jeune plateforme ouvre son catalogue pour accueillir des titres classiques japonais, et ce sont les dessins animés de notre enfance qui viennent passer une tête.
Dragon Quest : La Quête de Dai est une série animée japonaise qui est sortie en 1992 en France, c’est bien celle-ci et non la version de 2020 qui sera disponible. Chez nous, on connait l’animé sous le titre de Fly, qui est le nom anglais de Dai. Elle est basée sur le jeu vidéo de 1986 développé par Square Enix et du manga du même nom créé par Riku Sanjo et Koji Inada et produite par le fameux studio Toei Animation. On y suit les aventures de Dai, un jeune garçon qui rêve de devenir un grand héros. Lorsqu'une armée de monstres dirigée par le sorcier maléfique Hadlar attaque l'île où il vit, Dai se retrouve entraîné dans un conflit épique entre les forces du bien et du mal. Avec ses amis et alliés, Dai doit apprendre à maîtriser ses pouvoirs, combattre les monstres et faire face à des défis de plus en plus grands tout en cherchant à vaincre Hadlar et sauver le monde. Chara designs typiques de l’époque, surtout supervisés par Akira Toriyama (Dragon Ball), Dragon Quest reste une grande aventure avec des personnages attachants et de l’action simple et efficace.
On continue chez Toei Animation avec Goldorak, prince de l’espace, qui figure parmi les séries d’animation les plus symboliques de la télévision française des années 80. Cette série est issue de la première vague de franchises japonaises consacrées aux robots géants, ou « mécha ». Goldorak a initié toute une génération à la culture nippone. Le générique culte de 1978 reste inoubliable. La saga met en scène Actarus, un souverain extraterrestre déchu qui parvient à rejoindre la Terre à bord d’un robot géant, Goldorak, volé à son ennemi, l’empire de Vega. En plus de son intégrale, Paramount+ mettra en ligne le documentaire Goldorak Go! réalisé par Josselin Mahot et Victor Chevet, et produit par Galaxie. À travers les témoignages d’experts et de personnalités, le documentaire narre l’histoire et rend hommage à Goldorak, le robot héros du dessin animé qui a révolutionné la programmation jeunesse de la télévision des années 80 et qui a popularisé le genre, à tel point que la France est devenue 30 ans plus tard le 2nd marché mondial du manga après le Japon. Il pourra plaire aux nostalgiques comme aux plus jeunes amateurs de culture nippone.