C'est à ça que ressemble l'amour.
Oliver, illustrateur à Los Angeles, collectionne les ex et les déceptions amoureuses. Quand son père, Hal, tire sa révérence après avoir fait son coming-out à 75 ans et rejoint avec entrain la communauté homosexuelle, Oliver se penche sur ses relations familiales et ses échecs sentimentaux. Et il hérite d'un chien philosophe et bavard. La dépression le guette, jusqu'au jour où il rencontre Anna...
Commentaires (2)
J’étais bien parti. Je trouvais ce film intéressant pour mêler l’histoire du père et du fils, de ce dernier avec une femme… Plummer est brillant dans son rôle, rien à redire à son histoire. La rencontre McGregor/Laurent est très subtile, drôle, originale, décalée… Ça me plaisait bien ce ton décalé et bienveillant. Et puis vers les deux tiers, c’est devenu trop. Toute la tendresse mise dans le film se transformait en douleur, dans la perte des uns des autres, du père, des couples ; on mettait en avant la tristesse de l’abandon, de la solitude, du fils et beau-père au couple en passant même par le chien. Oui, oui, c’est bien fait jusqu’au bout mais toute cette mélancolie tristesse m’a trop englué et la perte de la légèreté, l’abandon de l’insouciance du départ m’a pesé pour ce final.
Bon film. Drôle, triste & sympa.