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First Cow
A simple western about the origin of the American Dream.
Au début du XIXe siècle, sur les terres encore sauvages de l’Oregon, Cookie Figowitz, un humble cuisinier, se lie d’amitié avec King-Lu, un immigrant d’origine chinoise. Rêvant tous deux d’une vie meilleure, ils montent un modeste commerce de beignets qui ne tarde pas à faire fureur auprès des pionniers de l’Ouest, en proie au mal du pays. Le succès de leur recette tient à un ingrédient secret : le lait qu’ils tirent clandestinement chaque nuit de la première vache introduite en Amérique, propriété exclusive d’un notable des environs.
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Réalisation
Kelly Reichardt
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Scénario
Kelly Reichardt
Jonathan Raymond
- Durée 2 heures 2 minutes
- Genres Drame, Western
- Langue Anglais
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Dernière mise à jour
22 mars 2024 - 08:11
sur 11 bases de données
Commentaires (5)
L'histoire est très intéressante et est d'un réalisme frappant. Dans ce wild wild west, on peut mourir pour du lait et cela est clairement donné comme une évidence tant ce monde est dans un mode survie. Contrairement aux autres commentaires, ce film ne m'a pas reposé mais au contraire, j'ai vu monté le dénouement final, d'autant plus qu'il est présenté dans le premier 1/4 d'heure du film et j'étais à l'affut du basculement. Ce qui m'a beaucoup gêné, ce sont ces plans fixes qui durent des plombes et dont on ne sait pas vraiment pourquoi. Ils ralentissent le filme et au début donnent envie de se lever et de planter là le film. Je partage le ressenti sur ce sujet avec @cellophane.
Certes, il y a plein de choses positives. A commencer par la reconstitution clairement très réussie. On a l’impression d’y être. Les comédiens sont bons – en tout cas, ils incarnent bien leur personnage parce qu’ils n’ont globalement qu’une expression chacun… Un bon film d’époque. Mais une histoire un peu légère… C’est un conte qui prend son temps, comme tous les contes, qui reste assez simpliste et linéaire, sans réelle surprise. Les deux protagonistes principaux étant assez neutre dans leurs sentiments ou façon d’être, il n’y a pas de tension… Un long fleuve tranquille. Mais trop tranquille. Les plans font 2, 3, 5 fois le temps nécessaire, le plus souvent ! On commence par un bateau qui passe. Passe. Passe. Passe. Ce n’est ni joli ni intrigant ni symbolique ni rien. Il passe pendant des plombes. Et si je peux être sensible à la beauté de scènes longues dans les films chinois le plus souvent, il faut qu’elles aient un sens, un intérêt. Là (j’ai compté tellement je m’ennuyais), on a un plan d’une minute complète sur un type qui se réveille dans son lit et met un pantalon ! La lenteur, pour moi, a manqué d’intérêt dans une histoire aussi simple que celle-ci et j’aurais sûrement mieux apprécié un film qui serait allé plus à l’essentiel.
Quel plaisir ce film tout en images ! Reposant ! (****1/2)
Tendre, doux, paisible et délicieux. Un très joli conte dans lequel il est extrêmement plaisant de se laisser prendre. Je le finis avec un énorme sourire sur le visage !