Parmi les soixante sceaux du Codex Poviglia, David reconnaît l'un deux : il s'agit d'un symbole que son père, artiste, utilise pour signer ses oeuvres. Monseigneur Korecki accepte qu'il enquête mais refuse qu'il le fasse seul. Il exige que Kristen l'accompagne pour rendre visite à son père, un homme qu'il n'a pas vu depuis cinq ans et qui pourrait bien être possédé...
Une chose est sûre : la critique est unanime sur la qualité d’Evil. Et pourtant, elle reste trop méconnue même parmi les sériephiles. C’est donc le moment avec l’arrivée de la saison 2 et 3 sur Paramount+ de vous (re)parler de ce petit bijou d’écriture. Jusque-là, seule la saison 1 était dispo.
Comme toutes les séries de Robert et Michelle King, sur le papier, le concept semble assez classique : une série de network à l’ancienne avec des affaires hebdomadaires que notre trio principal démêle entre possession démoniaque ou arnaque douce. Il y a des têtes connues dans le casting, Michael Emerson (inoubliable dans Lost) par exemple, monsieur Luke Cage lui-même (Mike Colter qui avait déjà collaboré sur The Good Wife), Aasif Mandvi dont le nom est peut-être inconnu mais dont le visage vous rappellera quelqu’un, et bien sûr Katja Herbers vue dans Westworld ou encore dans Divorce.
Ces trois derniers forment le trio principal composé d’un apprenti-prêtre croyant, d’une psychologue médico-légale franchement sceptique et d’un informaticien qui fait au contraire tout pour prouver que tout est faux, ils sont financés par l’église catholique pour débusquer les histoires de possession démoniaque. C’est ce que propose Evil sur CBS outre-Atlantique.
Commentaires (5)
intéressant l'allégorie de l'esclavage... le mari qui rentre, j'espère qu'il va vendre la mèche pour sa belle-mère et ... je me demande, il faisait vraiment de l'escalade au Népal ? Ou c'est une couverture ? En tout cas, il a eu la réplique qu'il fallait devant la fausse petite fille.
Svp ca marche pas les épisodes chez moi
J'adore cette série, mais cet épisode était beaucoup trop glauque, surtout la scène de l'accouchement. J'espère que ce n'est qu'un petit écart et que l'on va revenir au bizarre habituel.
J'adore le mari qui rentre pile quand sa femme est injoignable et fait la fête ailleurs. Que ces scénaristes sont inventifs ... ^^
Je ne sais pas où va cette série mais à mon avis les créateurs ont fumé le reste de ce que nos 2 refoulés ont eu dans leur sangria!