The Scorpion and the Frog
Sam et Dean ne savent plus comment faire pour retrouver Jack. Ils reçoivent un appel d’une personne possédant le moyen de retrouver le nephilim, ils fixent RDV et se retrouve dans un café. Cet homme se nomme Barthemu, il est un démon des croisements et possède un sort qui permet de retrouver Jack, ce sort est divisé en deux, il leur donne la première partie pour qu’il puisse vérifier et leur donnera le second si ils acceptent de lui rendre service. Après vérification, Sam pense que ce sort pourrait marcher, tous deux acceptent donc de le revoir. Barthamus lui présente deux autres personnes qui les aideront dans leur mission qui est de récupérer une boîte dans un coffre qui se trouve dans le maison d’un certain Luther Shrike, un homme qui est revenu de l’enfer.
L’equipe se compose de Smash (Alice), qui est capable d’ouvrir n’importe quel coffre et de Grab, un démon qui est un professionnel avec les sorts. Dean est également essentiel à la mission car il faut pour aouvrir le coffre, du sang d’une personne qui est revenu de l’enfer.
Ils entrent dans le manoir, en prétextant avoir un objet rare et surnaturel (couteau qui tue les démons) pour la collection de Luther. Sam l’occupera pendant que les trois autres iront récupérer le coffre. Cependant Luther ne se fait pas avoir et sait qu’ils sont à la solde de Barthemus, Sam essaye de le tuer mais celui-ci est immortel sur sa propriété. Luther part à la rencontre du reste du groupe pour les empêcher d’atteindre le groupe, il tue Grab avec le couteau des Winchester, Smash s’enfuit en le voyant et Dean lui tire dessus mais cela ne lui fait rien alors il l’assome avec la crosse de son arme. Sam et Dean attache Luther, celui-ci les prévient que la salle du coffre est piégé (fléchettes avec de l’arsenic, de l’huile sacrée et du sang) si ils marchent sur la mauvaise dalle. Alors l’es Winchester ont l’idee de pousser Luther dans la salle pour déclencher tous
Adrian Monk est un enquêteur doté d’une mémoire photographique prodigieuse qui lui permet de prêter une attention minutieuse aux détails. Sa particularité ? Il compte de nombreux Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC) et autres phobies qui compliquent grandement son quotidien et, par ricochet, ses enquêtes. Des enquêtes qu’il mène pour le compte de la police de San Francisco aux côtés de Leland Stottlemeyer, un capitaine qui ne comprend pas toujours le fonctionnement de Monk mais qui lui reconnaît des qualités de déduction redoutables et de Randy Fisher, un lieutenant dévoué quoique quelque peu naïf.
Pour le plus grand plaisir des fans, l'intégrale est disponible sur Netflix.
Sortie à l’origine en 2002 sur la chaîne du câble américain USA Network, Monk met en scène un anti-héros, brillant, mais pétri de névroses. Un choix narratif qui, à l’époque, était plutôt original et a, sans nul doute créé, quelques émules dans le paysage télévisuel international. Et si Monk a tellement marqué les esprits, c’est aussi – et surtout – grâce à l’interprétation de Tony Shaloub. Une interprétation qui parvient à éviter la caricature et confère au personnage des nuances qui le rendent à la fois attendrissant et drôle. Un équilibre que l’on retrouve également dans l’ADN même de la série qui oscille entre de purs moments de comédie et des enquêtes plus dramatiques. N'oublions pas que le fil rouge qui jalonne les huit saisons de Monk reste le meurtre non élucidé de Trudy, la femme du héros, décédée dans un attentat à la bombe. Pour autant, la série parvient à jongler harmonieusement avec ces deux balles narratives. Le côté comique est assuré à travers les interactions de Monk avec ses assistantes : Sharona (Bitty Schram) dans les trois premières saisons puis la douce Natalie (Traylor Howard) et l’équipe qu’il assiste sur les enquêtes. Une équipe dirigée par le Capitaine Stottlemeyer (Ted Levine) ancien partenaire d’Adrian qu'il a dû pousser vers la porte de sortie lorsque celui-ci se laissait emporter par la dépression suite au décès de Trudy et Randy Fisher (Jason Gray-Stanford) un lieutenant maladroit et puéril. Quant aux enquêtes, le deuxième pilier de la série, qu’elles soient intenses ou plus légères, c’est l’ingéniosité qui prévaut. Ainsi, même les mystères les plus décalés profitent d’une explication fine de Monk qu’il introduit par la fameuse phrase « Voilà ce qu’il s’est passé ».
- Sortie originale
- Épisode précédent S13E07 - War of the Worlds
- Numéro S13E08
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Réalisateur
Robert Singer
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Scénariste
Andrew Dabb
- Pays États-Unis
- Genres Drame, Fantastique, Horreur, Mystère, Thriller
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Liens externes
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Dernière mise à jour
25 avril 2024 - 10:40
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Commentaires (7)
L'épisode n'était pas très intéressant mais au moins, il était drôle.
J’aurai pensé que malgré les 3 neurones qu’ils se partagent tous les 2, ils auraient anticiper de récupérer plus vite le parchemin pendant que l’autre cramait... surtout qu’il le tenait bien à bout de bras...
J’ai bien aimé cet épisode, ça fait une petite pause dans l’intrigue et c’est pas plus mal. Et j’ai beaucoup aimé le personnage d’Alice aussi, j’espère qu’on la reverra, parce que comme dit plus haut, c’est vrai qu’il manque un peu de personnages secondaires maintenant 😕
Pas le meilleur stand-alone, loin de là.... Bart avait zéro charisme, et j'aurais bien aimé revoir le mec "immortel". Sinon, Jack me manque mais j'ai bien aimé la présence d'Alice !
Je ne me suis pas ennuyée, j'ai même bien aimé dans l'ensemble, mais il est vrai que cet épisode n'a pas servi à grand-chose et comme stand-alone, on a vu bien mieux. Bart avait tout du Crowley dans sa façon de s'habiller, sa façon de parler, de bouger... et même le coup des ossements, on l'a déjà vu avec Crowley si je me souviens bien. Alors, du coup, si revoir un démon des croisements aurait pu être sympa, c'était trop calqué sur Crowley sans en atteindre le niveau. A croire que personne ne sait comment rebondir en nous proposant un nouveau personnage qui puisse tenir la comparaison sans être une copie... Très dommage. J'ai bien aimé Alice, et sa présence a permis aux Winchester d'avoir une nouvelle petite victoire, mais elle m'a beaucoup fait penser à Charlie. Et si j'ai trouvé qu'Alice n'était pas un mauvais personnage, ça a juste ravivé la peine que je ressens à l'absence de Charlie. Cela dit, je ne serai pas contre revoir Alice dans un autre épisode, on manque de personnages secondaires sympathiques. Le pire de l'épisode, c'est la bêtise des Winchester. Déjà, travailler pour Bart m'a énormément étonnée. Mais bon, comme il y avait le sortilège à la clé, pourquoi pas ? Mais ensuite, qu'ils se rendent chez le type sans plan B, c'était du n'importe quoi. Et je me suis demandée ce que Sam foutait à souffler sur un parchemin qui flambait au lieu d'étouffer les flammes à grands coups de pompes ! A croire qu'il n'a jamais éteint un feu de sa vie ! Et ils en mettent du temps à réagir pour tenter de récupérer le parchemin pendant que Bart commence à brûler. Je crois que c'est la plus grosse et la plus dérangeante incohérence de l'épisode pour moi. A part ça, j'ai bien accroché au ton décalé et humoristique. ça donnait un côté léger à l'épisode qui ne m'a pas déplu. J'ai trouvé un peu exagéré la réaction de Dean face à la porte de la salle forte, mais toute la partie qui se passe après, avec le proprio prisonnier et la solution de Sam pour traverser la salle aux fléchettes m'a bien fait sourire. Sinon, 2e épisode sans Jack et il me manque le gamin !
heureusement que le ridicule ne tue pas