Une grande réunion en France constitue la toile de fond d'un affrontement politique entre Catherine et Wolsey - alors qu'à Londres, des émeutes éclatent.
Les liaisons dangereuses a inspiré des adaptations très différentes, de la moderne Sexe Intentions au film avec Glenn Close et John Malkovich à des pièces de théâtre. Cette fois-ci, la voici en série avec les personnages dans leur jeunesse. Alors que le programme commence à peine à être diffusé, une saison 2 vient d’être commandée pour ces Liaisons dangereuses, la préquelle imaginée par Harriet Warner du livre de Pierre Choderlos de Laclos. Ici la marquise de Merteuil est encore une jeune Camille, et Valmont n’est qu’un noble rejeté. Tous les deux s’aiment et se font de belles promesses et vont grimper les marches de la société tout en saisissant toutes les opportunités qui leur permettront de monter d’un échelon.
La manipulation et la sensualité ont toujours été des thématiques prépondérantes dans l’œuvre qui a défrayé la chronique à l’époque. Cette fois-ci, Lionsgate+ nous propose un drame historique un peu différent de ses fresques royales comme le dernier The Serpent Queen (qui vient d’être renouvelée pour une saison 2), puisqu’avec Les liaisons dangereuses, on entre complètement dans la fiction sans personnage réel. Les costumes sont exubérants, la foire aux vanités est ouverte.
Harriet Warner (Tell Me Your Secrets) et Collin Callender (qui est producteur exécutif sur le triptyque White Queen/White Princess/Spanish Princess), viennent expliquer leur démarche derrière la série.
Commentaires (2)
Avec des tentes aussi cossues ça fait rêver de faire du camping. Si enfin on peut lui faire sa fête à ce cardinal ça sera un sacré soulagement.
Quel dommage de ne pas avoir changé d'acteurs, ou au moins fait un travail de maquillage pour les vieillir..ça ne fait aucun sens qu'ils aient tous l'air d'avoir moins de 20 ans alors qu'ils en ont quasiment 40 pour certains. Catherine ne vieillit jamais alors qu'elle a une petite fille d'une dizaine d'années, Henry est toujours ado, bientôt Anne Boleyn et Catherine auront le même physique... Bon on est pas à une incohérence près niveau scénario non plus mais autant ça ne me dérange pas de romancer l'histoire et je sais que c'est du drama ajouté, autant ne jamais faire vieillir personne, on s'approche de la science fiction.