Croyez-vous en la réincarnation ?
C'est en tout cas ce qui arrive à Seo Hwi Yeong, Ryu Su Yeon et Shin Yool, 3 amis qui vécurent dans les années 30 sous l'occupation japonaise en Corée et étaient des révolutionnaires qui sacrifièrent leur vie pour rendre à leur pays sa liberté.
En 2017, Han Se Ju est un écrivain de renom, idolâtré par des milliers de fans à travers le monde. Parmi eux Jeon Seol est certainement la plus grande fan de Se Ju parmi tous.
Suite à une expérience traumatisante, Se Ju fera la douloureuse expérience du syndrome de la page blanche. Incapable d'écrire son nouveau roman attendu par des milliers de personnes, un homme inconnu se nommera lui-même son prête plume, mais ceci sous certaines conditions...
Commentaires (7)
Série originale et surprenante et agréable
J’ai trouvé un peu long à se mettre en place mais après a fond dedans 😄
Pour les amateurs de fictions sur la période d’occupation de la Corée par l’Empire japonais, regardez Modern boy avec Park Hae Il (Memories of murder , Eungyo, The host) et Kim Nam Gil (Queen Seon Dok, Shark, The fiery priest, The shameless) de Jeong Ji Woo (réalisateur des fabuleux Happy end et A muse et plus récemment Tune in for love). La reconstitution de l’occupation est plus documentée et plus hardcore.
Affiche trompeuse qui nous fait acheter du drama historique alors que l’Histoire n’est approchée que par le petit bout de la lorgnette. Drama nonchalant aussi, voire mollasson : il accroche au 1er épisode, se réveille au 5ème puis au 10ème. Les trois derniers épisodes sont de haute volée, mais ça arrive bien tard… Casting haut de gamme pour un scénario qui l’est moins, trop déséquilibré : déséquilibre entre les deux époques (les épisodes 14 et 15, peut-être les meilleurs, se déroulent presque en totalité dans les années 30, alors que l’époque moderne domine largement tout le reste) ; déséquilibre aussi entre les personnages avec 3 persos hyper travaillés et… tous les autres, qui ne servent pas à grand’chose (la copine de chambre, le chef italien), qui peuvent même agacer (la mère de Tae Min, l’éditeur) ou qui sacrifient de bons acteurs (la chamane, le père de Tae Min). Le caméléon Yoo Ah In et le solide Go Kyung Pyo nous sauvent de l’ennui. Belle fin.