Au début, une idée géniale : certaines personnes nous font voir les choses différemment pour des raisons physiologiques et on devient dépendant de ces visions différentes, donc de la personne. Métaphore de l’amour, qui justifie la jalousie, l’obsession amoureuse, la peur de l’amour et l’état second qu’il engendre, où ne se reconnaît pas, on devient niais et transi, transfiguré par la passion... ouah ! Je m’emballe ! Bref, quand on est amoureux, on en voit de toutes les couleurs. L’idée est superbe donc, mais qu’est-ce qu’elle est mal mise en image. Dès le 2ème épisode on tombe dans la série lycéenne basique avec ses tics habituels, l’alternance de passages humoristiques débiles sur petites notes de piano ironiques, la première main tenue qui prend tout un épisode et j’en passe. Le scénario et la réalisation ne sont pas à la hauteur des ambitions du sujet. Essai non transformé. Dommage.
Bananita
Série touchante et prenante du début à la fin, je conseille vivement !
Commentaires (2)
Au début, une idée géniale : certaines personnes nous font voir les choses différemment pour des raisons physiologiques et on devient dépendant de ces visions différentes, donc de la personne. Métaphore de l’amour, qui justifie la jalousie, l’obsession amoureuse, la peur de l’amour et l’état second qu’il engendre, où ne se reconnaît pas, on devient niais et transi, transfiguré par la passion... ouah ! Je m’emballe ! Bref, quand on est amoureux, on en voit de toutes les couleurs. L’idée est superbe donc, mais qu’est-ce qu’elle est mal mise en image. Dès le 2ème épisode on tombe dans la série lycéenne basique avec ses tics habituels, l’alternance de passages humoristiques débiles sur petites notes de piano ironiques, la première main tenue qui prend tout un épisode et j’en passe. Le scénario et la réalisation ne sont pas à la hauteur des ambitions du sujet. Essai non transformé. Dommage.
Série touchante et prenante du début à la fin, je conseille vivement !