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Dope Girls (Canal+) : une plongée captivante dans le Londres des années 1920

Dope Girls, la nouvelle série dramatique et criminelle signée Polly Stenham et Alex Warren, nous embarque dans le destin tourmenté de Kate, une mère célibataire contrainte d’embrasser l’illégalité pour survivre. Disponible dès le 20 mars sur Canal+.

Un récit intense porté par un casting féminin de premier plan

Dès le premier épisode, Dope Girls nous plonge dans le chaos du Londres post-Première Guerre mondiale. Après un événement tragique qui bouleverse son existence, Kate (Julianne Nicholson – Mare of Easttown, The Outsider) s’installe à Soho, un quartier en pleine effervescence où règnent trafics, corruption et luttes de pouvoir. Déterminée à protéger sa fille Evie, elle se retrouve rapidement plongée dans un monde clandestin où la survie exige de faire des choix difficiles.

À ses côtés, Violet Davies (Eliza Scanlen – Sharp Objects, The First Lady) incarne une jeune policière ambitieuse tentant de s’imposer dans une institution encore profondément sexiste. Son enquête sur les milieux interlopes de Soho l’amène à croiser la route de Kate, créant une alliance aussi fragile qu’explosive. De son côté, Billie Cassidy (Umi Myers), amie et alliée de Kate, devient son soutien indéfectible face aux dangers qui l’entourent.

Une lutte pour le pouvoir et la survie

Alors que Kate tente de se reconstruire, elle se heurte au clan Salucci, une famille criminelle impitoyable menée par Isabella Salucci (Geraldine James – Silo, Utopia). Leurs confrontations ajoutent une couche supplémentaire de suspense, d’autant plus que Violet mène une enquête sous couverture sur Silvio Salucci (Sebastian Croft – Heartstopper, Game of Thrones), un personnage aussi énigmatique que redoutable. Dans cet univers où trahisons, alliances et secrets s’entremêlent, Kate devra naviguer entre ses ambitions, ses peurs et ses devoirs de mère, tout en affrontant les dangers d’un monde où les règles n’existent plus.

Avec une réalisation soignée, des décors réalistes et une bande-son immersive, Dope Girls offre une reconstitution minutieuse du Londres interlope de l’après-guerre. Entre clubs clandestins, ruelles sombres et jeux de pouvoir, la série parvient à capter l’essence d’une époque en pleine mutation. En mêlant thriller criminel et drame humain, Dope Girls s’impose comme une série rythmée, intense et audacieuse, à la croisée de Peaky Blinders et Babylon Berlin.

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BetaSeries