Hercule Poirot parviendra-t-il à expliquer l'étrange disparition du banquier Matthew Davenheim ? L'inspecteur Japp, pour sa part, a parié sur son échec. Il faut dire que l'affaire est assez complexe : tout porte à croire que Davenheim n'a pas bougé de chez lui ! Personne, en tout cas, ne l'a vu sortir. En revanche, quelqu'un serait entré dans la demeure du banquier. En effet, Davenheim avait rendez-vous avec Gerald Lowen, un homme ambitieux et carriériste qui se voyait bien occuper ce poste. Mais les choses ont tendance à se compliquer singulièrement lorsqu'Hastings décide de s'en mêler...
Diffusée en exclusivité sur OCS, disponible dans les offres CANAL+, à partir du 4 septembre 2025, la mini-série britannique de quatre épisodes dévoilera chaque jeudi soir à 23h une nouvelle étape de son intrigue. Au Pair sera également disponible à la demande dès sa diffusion.
Tout semble sourire à Zoé Dalton, incarnée par Sally Bretton (Death in Paradise, The Office) : un mari riche, deux beaux-enfants charmants, une belle demeure dans le sud de l’Angleterre et une petite entreprise de couture florissante. Mais derrière cette façade idéale, Zoé vacille. Entre un quotidien accaparé, la difficulté de trouver sa place dans une famille recomposée et la charge de son père diabétique George — joué par Sir David Suchet (Poirot) — installé dans une dépendance, la jeune femme cherche un équilibre fragile. C’est alors qu’elle engage Sandrine, une au pair française incarnée par Ludmilla Makowski (Lupin), sans se douter que la nouvelle venue cache une identité trouble et des intentions dangereuses.
Autour de ce duo central, on retrouve Kenny Doughty (Vera) dans le rôle du mari, et Virginie Ledoyen (La Plage, Huit Femmes), qui apporte une intensité supplémentaire au récit. Derrière la caméra, Oonagh Kearney orchestre ce thriller psychologique avec un sens aigu du rythme et des atmosphères. La série explore les tensions invisibles qui minent les foyers apparemment parfaits, dans la lignée de Mon amie Adèle ou Liar, où chaque épisode fait monter d’un cran la paranoïa et le doute.