Der Stromausfall auf der Insel stellt alle Zurückgebliebenen vor große Herausforderungen. Noch sind die Vorräte in den Hotels und Läden genießbar, aber alles ist nur eine Frage der Zeit. Jeder muss nun seinen Alltag bewältigen und glücklich kann sich schätzen, wer einen Stromgenerator hat. Der Kampf um die Ressourcen beginnt. Und während Sozialarbeiterin Freja noch versucht, die Zivilisation aufrecht zu erhalten, geht der Streit in ihrer Gruppe los. Evelin macht sich große Sorgen um ihre Schwangerschaft.
Pour clôturer ce Festival de séries TV de Berlin, on vous fait voyager en Allemagne avec la série « Sløborn », en Islande avec « My Funeral » et enfin en Israël avec « The Chef ». Ces séries nous montrent toute la créativité, la modernité et la diversité des séries internationales à travers des histoires très locales, elles adressent des sujets humains universels qui nous concernent tous. À cette occasion, Kevin Elarbi a pu recevoir les créateurs pour vous donner un avant-goût de ces productions.
Des séries aux thèmes qui peuvent nous toucher de près, voire même d’actualité comme « Sløborn » réalisée par Adolfo Kolmerer et Christian Alvart. Une histoire d’apocalypse où la tension monte au fur et à mesure des épisodes et va bouleverser le quotidien des habitants de Sloborn. Les personnages se retrouvent contaminés par un virus violent qui les condamne à mourir. Montée il y a un an par Adolfo Kolmerer et Christian Alvart, cette série visionnaire, fait écho à la situation sanitaire mondiale actuelle.
« Sløborn » montre cette réalité présente, avec des protagonistes auxquels chacun peut s’identifier. Il y a ceux qui refusent de porter le masque, qui accusent le gouvernement de mentir et ceux qui expriment leurs craintes et leurs peurs face à des hôpitaux débordés. « Sløborn » va au-delà d’une histoire de virus, elle est dans le respect de l’humain, sans aucune caricature ou stéréotype. Il y a également des thèmes profonds sur la condition sociale, l’avortement, la dépendance à la drogue, le harcèlement scolaire ou encore l’abandon.