The Betrayal

La série me rappelle définitivement l'ambiance des livres Moins Que Zéro pour la satire de la jeunesse dorée d'Hollywood et Glamorama pour les personnages qui disparaissent / sont enlevés maintenant reste à savoir dans la tête et dans la psychose de quel personnage nous nous trouvons ! Car c'est de ça dont traite Glamorama, la descente progressive dans la schizophrénie et la paranoïa totale du protagoniste, en espérant qu'Ellis ait fait comme dans American Psycho et ait disséminé ça et là des indices permettant de différencier la folie de la réalité. Encore une fois je persiste et signe : série difficile à comprendre si on a pas lu et aimé l'oeuvre d'Ellis sauf si elle est perçue par le webspectateur comme étant une satire. Vraiment hâte de voir quels petits détails insignifiants mais pourtant nécessaire à la compréhension de la série dans sa globalité Ellis nous réserve pour les prochains épisodes !