Procyon envoie Argoli et Alcor dans l'espace pour y construire une base orbitale. Cette idée ne plaît pas du tout à Hydargos et à Minos qui envoient le Golgoth 26 et un autre robot attaquer les deux spationautes. Goldorak arrive pour les secourir pendant que Vénusia, blessé par un rayon laser a besoin d'une transfusion. L'épisode se termine avec Goldorak en bien mauvaise posture face au Golgoth 26.
La jeune plateforme ouvre son catalogue pour accueillir des titres classiques japonais, et ce sont les dessins animés de notre enfance qui viennent passer une tête.
Dragon Quest : La Quête de Dai est une série animée japonaise qui est sortie en 1992 en France, c’est bien celle-ci et non la version de 2020 qui sera disponible. Chez nous, on connait l’animé sous le titre de Fly, qui est le nom anglais de Dai. Elle est basée sur le jeu vidéo de 1986 développé par Square Enix et du manga du même nom créé par Riku Sanjo et Koji Inada et produite par le fameux studio Toei Animation. On y suit les aventures de Dai, un jeune garçon qui rêve de devenir un grand héros. Lorsqu'une armée de monstres dirigée par le sorcier maléfique Hadlar attaque l'île où il vit, Dai se retrouve entraîné dans un conflit épique entre les forces du bien et du mal. Avec ses amis et alliés, Dai doit apprendre à maîtriser ses pouvoirs, combattre les monstres et faire face à des défis de plus en plus grands tout en cherchant à vaincre Hadlar et sauver le monde. Chara designs typiques de l’époque, surtout supervisés par Akira Toriyama (Dragon Ball), Dragon Quest reste une grande aventure avec des personnages attachants et de l’action simple et efficace.
On continue chez Toei Animation avec Goldorak, prince de l’espace, qui figure parmi les séries d’animation les plus symboliques de la télévision française des années 80. Cette série est issue de la première vague de franchises japonaises consacrées aux robots géants, ou « mécha ». Goldorak a initié toute une génération à la culture nippone. Le générique culte de 1978 reste inoubliable. La saga met en scène Actarus, un souverain extraterrestre déchu qui parvient à rejoindre la Terre à bord d’un robot géant, Goldorak, volé à son ennemi, l’empire de Vega. En plus de son intégrale, Paramount+ mettra en ligne le documentaire Goldorak Go! réalisé par Josselin Mahot et Victor Chevet, et produit par Galaxie. À travers les témoignages d’experts et de personnalités, le documentaire narre l’histoire et rend hommage à Goldorak, le robot héros du dessin animé qui a révolutionné la programmation jeunesse de la télévision des années 80 et qui a popularisé le genre, à tel point que la France est devenue 30 ans plus tard le 2nd marché mondial du manga après le Japon. Il pourra plaire aux nostalgiques comme aux plus jeunes amateurs de culture nippone.
Commentaires
Incroyable : Un épisode qui repousse encore les limites de l’incohérence par rapport à celui d’avant. Et pourtant, il avait fait fort. Le centre d’études spatiales décide d’envoyer une fusée dans l’espace. L’autorisation gouvernementale ? Mais on se torche avec, mon bon monsieur 😆 Et qui qui c’est qu’on envoie ? Alcor et le premier adjoint. Surtout pas des astronautes confirmés, ça ferait sérieux et organisé. Et le tout sans entraînement. Quand on compare à l’entraînement réellement vécu (voir la BD « Dans la combi de Thomas Pesquet », c’est le némésis de l’astronaute. Quand on rajoute Alcor qui en élève son casque juste avant le départ alors qu’il devrait logiquement être aspergé de désinfectant… 😅 Et où peut bien se situer le point de lancement ? Ben juste à côté du centre et du ranch, patate. Au beau milieu de la montagne. C’est pas comme si le bruit (enfin, le vacarme) et la puissance lors du décollage allaient poser problème quand tu te trouves à dix mètres d’une falaise… Je ne vois pas pourquoi on se prend la tête à aller à Kourou alors que dans les Alpes, ça passe crème. Même les nord-coréens n’oseraient pas faire ça. Et pourquoi avoir toute une armée de techniciens et d’ingénieurs comme chez la NASA quand tu fais sortir la fusée d’un trou dans le sol et la dirige avec seulement trois personnes ? Les doigts dans le nez. Admettons, la fusée décolle et arrive en orbite. Quelle est sa mission : monter une station spatiale. En trois mois. À deux personnes. Avec les cosmonautes qui poussent les pièces géantes grâce à leurs propulseurs. Pièces qui s’emboîtent comme des Lego 😆 Dire que j’ai du mal à monter le camion de sauvetages de chiens des Lego Friends. J’aurais dû demander à Alcor… On passe rapidement sur le fait que le centre a déjà une deuxième fusée en stock qu’il lance sans personne dedans et en appuyant sur un simple bouton. Et qui sort du même trou (gros gros trou…) J’ai de plus en plus de doutes sur la puissance de feu de Vega : Ils détruisent des villes avec leurs rayons mais n’égratignent même pas le scaphandre d’Alcor qui perd simplement connaissance. Pas mieux que le Golgoth qui tire à côté de Venusia partie sauver le petit lapin de son petit frère (« Oh non, mon lapin, il faut le sauver ! » « Ne bouge pas petit frère, je m’en charge au lieu de partir en courant ! » - D’une débilité sans nom : À sa place, j’ai beau être quasi végétarien, le lapin finit en civet dans la seconde pendant que je me barre dans l’autre sens) et reste immobile comme une grosse tarte une fois qu’elle l’a récupéré. Surtout, ne cours pas pour te mettre à l’abris, tu risquerais de survivre. Mais je m’égare : le Golgoth tire à côté, Venusia s’effondre. Transférée à la cliniq… ah non, au centre (bah, déjà qu’il faisait hôpital psychiatrique avec électrochocs la dernière fois…). Verdict du médecin : il lui faut une transfusion sanguine. Alors que le Golgoth a tiré à côté (troisième fois) et qu’il n’y a pas une goutte de sang. Et comme par hasard, personne n’a le même groupe qu’elle, sinon ce n’est pas drôle. Mais dans cet océan de n’importe quoi, Vega a sa première bonne idée en vingt-six épisodes : Envoyer deux Golgoths à la fois. Alléluia ! Et même un troisième ! À ce rythme-là, cela leur laisse encore deux bonnes idées avant la fin de la série 😅 Goldorak va-t-il s’en sortir ? Sinon, comment vont-ils combler l’absence du héros durant les quarante-sept épisodes restants ? Vous le saurez en regardant le prochain épisode