Quand commence la paranoïa ?
Clarissa, romancière en mal d’inspiration, rejoint une résidence d’artistes prestigieuse à la pointe de la technologie. Elle trouve en Dalloway, son assistante virtuelle, un soutien et même une confidente qui l’aide à écrire. Mais peu à peu, Clarissa éprouve un malaise face au comportement de plus en plus intrusif de son IA, renforcé par les avertissements complotistes d’un autre résident. Se sentant alors surveillée, Clarissa se lance secrètement dans une enquête pour découvrir les réelles intentions de ses hôtes. Menace réelle ou délire paranoïaque ?
Commentaires (5)
Alors c’est une expérience assez intéressante, surtout quand tu es fan. Déjà la voix de Mylène est hyper familière donc tout de suite on se met dans l’ambiance. Au fil du film on se prend d’empathie pour Cécile de France et toujours en tant que fan, c’est assez particulier parce que Mylène devient la personne à craindre et sa voix fait peur, car elle intervient une manière assez angoissant, comme dans Cassandra.
“Dalloway” suit une écrivaine en panne d’inspiration, submergée par le chagrin, qui commence à se confier à une IA… avant que tout ne dérape. Le film, trop long et donnant une impression de déjà-vu façon Black Mirror, finit par tourner en rond et devient indigeste. Ni Cécile de France – ici un peu trop naïve – ni la critique facile de l’intelligence artificielle ne parviennent à relever l’ensemble.
Synthèse des peurs des personnes de 50 ans: ChatGPT + COVID, montre une méconnaissance profonde de l'IA. Je m'attendais à un film avec une analyse bien plus fine ...
Dalloway. J’ai ce mot en tête depuis plusieurs semaines et j’ai enfin pu le découvrir aujourd’hui au cinéma. Soyons honnêtes : si je suis allé voir ce film français, c’est surtout pour entendre la douce voix de Mylène Farmer dans le rôle d’une IA. Et je n’ai pas été déçu. Globalement, le film est réussi, avec une tension qui monte progressivement… avant de retomber un peu trop vite. Le final se révèle à la fois prévisible et pourtant surprenant dans sa dernière scène. Le mélange constant de français et d’anglais m’a légèrement dérouté, et si le scénario tient la route, j’ai l’impression que le film arrive un peu tard. Il aurait pu être visionnaire, mais à l’ère où tout le monde est déjà “briefé” avec ChatGPT, l’effet de nouveauté s’estompe. Un point fort toutefois : Cécile de France, remarquable dans le rôle principal, livre une performance juste et puissante. Reste une certitude : ce film mérite au moins un visionnage, ne serait-ce que pour entendre Mylène Farmer incarner avec intensité toute une palette d’émotions.
Le film a pris des tournures auxquelles je ne m’attendais pas. Le scénario est bien construit et la fin conclut parfaitement l’histoire, tout en transmettant pleinement son message!!