The servant à l’international.
Réécriture totale du plus célèbre conte traditionnel coréen (pansori), Le chant de la fidèle Chun Hyang.
D’un conte confucianiste qui exalte la fidélité (dont il vaut mieux connaître les grands lignes pour mieux apprécier les variations du film), Kim Dae Woo sort un objet filmique enivrant où l’on rencontre l’auteur fictif qui s’inspire, sur commande, de l’histoire vraie du serviteur de Chun Hyang. On accompagne pas à pas l’écriture de l’œuvre qui mêle au fur et à mesure humour, satire sociale, histoire, traditions, sexe, manipulation, drame voire tragédie... Pleure-t-on au final pour Chun Hyang ? Pour son serviteur ? Pour l’écrivain ? Inclassable et renversant.
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The servant à l’international. Réécriture totale du plus célèbre conte traditionnel coréen (pansori), Le chant de la fidèle Chun Hyang. D’un conte confucianiste qui exalte la fidélité (dont il vaut mieux connaître les grands lignes pour mieux apprécier les variations du film), Kim Dae Woo sort un objet filmique enivrant où l’on rencontre l’auteur fictif qui s’inspire, sur commande, de l’histoire vraie du serviteur de Chun Hyang. On accompagne pas à pas l’écriture de l’œuvre qui mêle au fur et à mesure humour, satire sociale, histoire, traditions, sexe, manipulation, drame voire tragédie... Pleure-t-on au final pour Chun Hyang ? Pour son serviteur ? Pour l’écrivain ? Inclassable et renversant.