Marga est une artiste snob. Roberto son mari est en couple avec Tina, la femme de ménage, et l'a mise enceinte. Vera, l'amie de Marga, est une cuisinière médiatique qui doit fermer son commerce à cause de la maladie d'un critique incisif. Nat est vendeuse dans une boutique de haute couture. Marga et Vera sont ses clientes. Adela, mère de Tina, est sans emploi et risque d'être mise à la rue avec sa vieille mère par son propriétaire impitoyable. Victoria, la voisine d'Adela et Nat, est une actrice délaissée du cinéma érotique des années 70.
À partir du 11 juillet, HBO Max dévoile FURIA, une série espagnole aussi drôle qu’acerbe, portée par un casting cinq étoiles. Cette création originale signée Félix Sabroso brosse le portrait d’un quintet de femmes prises dans un enchaînement de drames personnels et sociaux, avec en toile de fond une société traversée par l’oppression, les inégalités et la manipulation. Comédie, satire et drame s’entremêlent dans ce kaléidoscope humain au format efficace — huit épisodes de 30 minutes — à découvrir chaque vendredi sur Max.
Le projet rassemble pour la première fois à l’écran Candela Peña (L’Affaire Asunta), Carmen Machi, Cecilia Roth (El embarcadero), Nathalie Poza et Pilar Castro. Autour d’elles gravitent des figures tout aussi marquantes comme Claudia Salas (Elite), Ana Torrent, Pedro Casablanc ou encore Pepón Nieto. Mais ce sont bien ces cinq héroïnes qui mènent la danse dans un récit où les histoires se télescopent jusqu’à l’explosion.
Marga, artiste snob dont la vie conjugale se fissure, découvre que son mari attend un enfant avec leur femme de ménage, Tina. Vera, cheffe médiatique, doit renoncer à sa carrière suite à un incident aussi cruel qu’absurde. Nat, vendeuse dans une boutique de luxe, vit à la marge de ce monde auquel elle participe sans jamais y appartenir. Adela, mère de Tina, lutte contre une expulsion imminente, tandis que Victoria, ex-actrice érotique des années 70, tente de ne pas sombrer dans l’oubli. Ces femmes vivent dans un même quartier, leurs trajectoires individuelles étant liées comme les dominos d’une mécanique sociale cruelle et implacable.
Commentaires (2)
Le message de fond est recevable mais la forme est très brouillon
Une noble cause ne fait pas obligatoirement une bonne série. Le sentiment qui m'emporte est un gâchis au niveau des histoires. La caricature ne sert en rien la cause. Je ne voyais que des femmes hystériques. J'aurais préférais plus de subtilités. Dommage.