Seconde Guerre mondiale, sur la ligne de chemin de fer Siam-Birmanie, aussi appelée " voie ferrée de la mort ". Un médecin australien prisonnier de guerre observe les terribles répercussions du conflit sur les militaires et les civils.
The Narrow Road, série australienne en cinq épisodes, arrive en exclusivité sur Canal+ à partir du 9 octobre 2025, avec trois épisodes diffusés le premier soir puis deux le jeudi suivant, dès 21h00, et disponible simultanément sur l’app CANAL+.
Inspirée du roman La Route étroite vers le nord lointain de Richard Flanagan (Booker Prize 2014), cette série bouleversante nous entraîne dans les souvenirs d’un homme hanté par la guerre et par un amour interdit. Écrite par Shaun Grant (Nitram, Penguin Bloom) et réalisée par Justin Kurzel (Macbeth, Black Rabbit), The Narrow Road s’impose déjà comme le coup de cœur Canal+ de la rentrée.
1989, Australie. Dorrigo Evans, chirurgien reconnu et héros de guerre, prépare un discours pour la sortie d’un livre sur la Seconde Guerre mondiale. Mais derrière la figure publique se cache un homme brisé par le passé.
En 1943, prisonnier de guerre des Japonais, il est contraint de participer à la construction de la voie ferrée reliant la Thaïlande et la Birmanie — la fameuse Death Railway, symbole d’horreur et de survie.
Dans cet enfer de jungle, de faim et de mauvais traitements, Dorrigo s’accroche à un souvenir : celui d’un amour passionné et interdit avec Amy Mulvaney, la jeune épouse de son oncle.
Commentaires (10)
Très belle série
Mon sentiment est très bien résumé par @isabulle et @steevan . Le seul regret est cette séquence insoutenable à regarder dans l'E4.
"The Narrow Road" est une mini-série historique en cinq épisodes captivante. À travers trois époques de la vie de Dorrigo Evans, interprété avec brio par Jacob Elordi, la série dresse le portrait d’un soldat marqué à la fois par la guerre et par un amour interdit. Si la partie romantique séduit moins, la section consacrée à sa captivité pendant la Seconde Guerre mondiale est d’une grande puissance. Brutale, parfois difficile à regarder, elle illustre avec justesse l’horreur et la déshumanisation vécues par les prisonniers. On aurait aimé que cette dimension soit encore plus développée tant elle porte le cœur du récit. Avec une mise en scène réaliste et une narration correcte malgré ses allers-retours temporels, "The Narrow Road" impressionne par sa profondeur et son intensité dramatique. Une série parfois dure, mais qui parvient à se démarquer des autres du même genre. - 14,5/20 Critique sur The Narrow Road (saison 1) Vue du 09 au 16.10.2025 sur CANAL+
Très belle mini-série en effet mais difficile à regarder par moment. Les épisodes sont assez courts, elle se regarde rapidement. Le casting est excellent et les décors sont magnifiques. J’aurai juste aimé plus d’intensité dans l’histoire d’amour impossible et que dans les horreurs du camp de prisonniers mais c’est un détail.
Magnifique série avec de magnifiques acteurs,des scènes très dures à regarder,beaucoup d'émotions ... mais comment peut-on nous laisser sur cette fin frustrante ...
Adaptée d’un roman primé (que j’ai désormais envie de lire), "The Narrow Road" tisse sur 3 temporalités entremêlées le portrait bouleversant d’un homme rongé par la guerre et par un amour impossible. Avant le conflit, il y a la passion interdite avec la femme de son oncle. Puis l'enfer de la jungle thaïlandaise où lui et ses camarades soldats australiens sont contraints par les Japonais de construire une ligne de chemin de fer jusqu'en Birmanie dans des conditions inhumaines. En passant par un présent hanté : celui d’un vieil homme volage, usé, prêt à publier ses Mémoires de captivité sans jamais vraiment oser affronter ses fantômes, les traces du songe comme du cauchemar étant des plaies encore à vif. La série est appréciable par sa mise en scène soignée , sensorielle dans la temporalité qui m' a le plus captivé ( la jungle ) : la moiteur , les sévices ,la faim , ravages de la dysenterie et de la malaria , amputation ... le réalisateur n'aseptise rien dans une reconstitution volontairement insoutenable Jacob Elordi (Euphoria) y est charismatique : jeune Dorrigo Evans, à la fois héroïque et vénéneux, forgé dans la violence des hommes. Je note la série 7/10. car les épisodes peinent à maintenir la même tension quand ils s’attardent sur le Dorrigo vieillissant, don Juan pathétique. Dommage.
Sur quelle plateforme peut-on la regarder ? Merci
Une mini-série bouleversante.
Magnifique série et choquant en même temps. Je vous la conseille
Le 18 Avril ! trailer https://www.youtube.com/watch?v=I30yq3lc-H8