Virginia craint que son fils ne soit malade. Bill et Virginia préparent une tournée nationale pour faire la promotion de leur livre. Bill essaie d’améliorer sa sociabilité. Libby s’occupe d’un voisin frappé par un drame.
Virée historique avec une série qui intriguait déjà sur le papier. Masters of Sex est l'une de ces séries rares qui ont relevé le défi avec une grâce et une finesse incroyables. Créée par Michelle Ashford, cette série offre une vision captivante de l'histoire méconnue des pionniers de la sexologie, William Masters et Virginia Johnson dans les années 60. Sortie en 2013 sur Showtime, la série est disponible sur RTL Play et elle est un petit bijou de retranscription historique à (re)découvrir.
La première saison de Masters of Sex démarre avec les débuts de la recherche sur la sexualité humaine menée par William Masters (interprété par Michael Sheen) et Virginia Johnson (sous les traits de Lizzy Caplan). La série commence dans les années 1950, une époque où la sexualité était largement méconnue et entourée de tabous. William Masters, un gynécologue renommé, décide d'entreprendre des études sur la réponse sexuelle humaine. Pour ce faire, il recrute Virginia Johnson, une mère célibataire audacieuse qui deviendra son assistante de recherche. Ensemble, ils entreprennent des observations révolutionnaires sur la physiologie de la sexualité, notamment les réponses physiques des hommes et des femmes lors de l'acte sexuel. Évidemment, leur recherche fait jaser dans le monde scientifique qui n’est pas prise au sérieux. Cette recherche va les questionner sur leurs propres relations personnelles en plus de la place de la sexualité dans leur société. En plus de Michael Sheen et Lizzy Caplan, il faut mentionner la prestation bluffante de Caitlin FitzGerald, la femme de Masters qui offre une perspective différente du rôle de femme par rapport à Virginia Johnson.
Masters of Sex ne se contente pas d'être une série biographique sur deux chercheurs, elle va bien au-delà. Elle explore l'intimité humaine de manière franche et sans fioritures, sans jamais basculer dans la vulgarité. Enjeux psychologiques, sociaux et moraux, la série dévoile les tabous et les stigmates de la société des années 1950 et 1960. Elle met en lumière les luttes pour l'émancipation des femmes, la recherche de l'égalité des sexes, et les défis que posent la découverte et la compréhension du corps. Plaisir, consentement, et finalement la connaissance soi participent à établir une relation intime saine. Elle insiste sur l'importance de briser les tabous et de parler ouvertement de la sexualité, en soulignant que la communication peut aider à résoudre les problèmes, à surmonter les obstacles et à renforcer les liens entre les individus.
Commentaires (24)
Masters qui essaye d être gentil la scène du magasin tellement drôle surtt le sourire forcé de masters ???
Ahlala on s'attendait presque au coming out de Barton..
les couples Barton, Masters et même les voisins nous en apprennent, nous font réfléchir et nous émeuvent. Brillante série.
Merci @Batsly, @Flvieren, @Macbiffle, @Ahpolline pour avoir donner leur avis sur ma question. je suis aussi de votre avis sur la notion de viol. Je reste tout de même circonspect dans le cadre d'un tribunal. Le violeur pourra , à mon sens, être facilement disculpé de son acte face à ce genre de situation. Les relations amoureuses peuvent être du type violent, un NON peut dire OUI, phénomène Répulsion / Attraction, comme la relation amoureuse de ce banquier suisse Stern (ici c'est un meurtre et non un viol), mais on ne peut pas nier que ce type de relation existe.
Pas besoin de juriste pour savoir si c'était un viol ou non. La majorité des viols sont commis par une personne proche de la victime et notamment souvent un mari/conjoint/copain et donc des personnes dont la victime est potentiellement amoureuse. S'il n'y a pas consentement, c'est un viol, point. S'il y avait consentement avant ou s'il y a consentement après, cela n'empêche pas qu'au moment M si la relation est non consentie, cela devient un viol/une agression sexuelle.
Tellement contente que Barton ait accepté, contente de le revoir, et encore plus contente de revoir Margareth ! Sa situation sexuelo-sentimentale m'intrigue ! Et Bill a été adorable dans cet épisode, j'avais presque envie de le féliciter par un câlin à chaque fois qu'il était gentil / empathique !
Je ne suis pas sûre d'avoir bien compris l'histoire du manteau . Pourquoi le manteau étant dans la penderie de Libie sachant que Masters l'a ramené à Virginia le soir même ? C'était sympa de voir Masters avec un peu d'empathie ça change . Tessa m'insupporte comme pas possible .
Je ne suis pas sûre d'avoir bien compris l'histoire du manteau . Pourquoi le manteau étant dans la penderie de Libie sachant que Masters l'a ramené à Virginia le soir même ? C'était sympa de voir Masters avec un peu d'empathie ça change . Tessa m'insupporte comme pas possible .
Le débat sur Viol ou pas Viol de l'episode 3 est intéressant après cet opus. Peux t on dire qu'il y a viol quand la victime recommence, ce qu'elle a subi, volontairement ? L'avis d'un juriste serait intéressant pour cette situation.
Si elle avait des doutes maintenant Libby est plus que certaine.