Martin is quite interested in one of the guests, Sheila, on Eddie Charles current show ""Wall Street Witches."" Sheila and Martin have an instant connection, and Eddie is stuck right in the middle. Due to a back problem that will require surgery, Eddie is propped up in a handcart and cannot escape the sexual tension. Sheila and Martin date, and while walking along outside, Sheila asks Martin to make a wish on her crystal. Next scene: bedroom. After a rather intense experience, Sheila wants Martin to make three wishes using her crystal. Martin wishes to win the lottery, find his rare missing baseball card, and have perfect Dr. Richard Stone fail at something. The first two wishes come true, though not exactly as Martin thought they would. After realizing that there is some strange magic in the air, Martin worries that the last wish will also come true.
Les années 1990 ont été une époque charnière pour la télévision américaine, marquée par l'émergence de sitcoms emblématiques. Parmi elles, Dream On, un peu oubliée par rapport aux autres, surtout en France, qui outre-Atlantique était sortie sur HBO. Paramount+ l’a intégrée à son catalogue aux côtés du revival de Frasier, alors c’est le bon moment pour la (re)découvrir.
Dream On se distingue d'emblée par son concept novateur. Créée par David Crane et Marta Kauffman, le duo derrière le phénomène Friends (Dream On date de 1990 et Friends de 1994), la série met en scène Martin Tupper, interprété par Brian Benben. Martin est un éditeur de livres dans une maison d’édition spécialisée dans la romance, mais là où ça devient intéressant, c'est que ses pensées sont illustrées par des extraits de vieux films et d'émissions des années 30 à 50. Un mix entre passé et présent qui donne une touche unique à la série marque une rupture avec les codes des sitcoms rivales.
Que ce soit les affres avec son ex-femme ou tout ce qui passe dans la maison d’édition, les hauts et les bas de Martin sont dépeints en six saisons. Et en bonus, en tant qu’éditeur, Martin mentionne souvent Les hauts de Hurlevent d’Emily Brontë et on aura l’impression d’avoir lu le livre sans en avoir ouvert une page. La série utilise astucieusement cette référence littéraire pour créer des parallèles entre la fiction de Brontë et la réalité chaotique et parfois passionnelle de Martin Tupper.