Goldie met à contribution Bill, Ralph et Edgar pour un showcase qui doit avoir lieu au club. Bill reçoit la visite surprise de son père et sa soeur, peu amènes, venus assister à une de ses prestations. Adam, convié chez Goldie pour une aide matérielle, découvre la face cachée de la patronne...
Elles s’appellent Seinfeld, Louie, I’m Dying up here, Crashing, The Marvelous Mrs Maisel, Hacks ou encore Jeune et Golri… toutes ont pour point commun une curieuse mise en abyme de l’art de faire marrer. Et c’est sans doute parce qu’elles regardent cet art au microscope qu’elles ne sont pas toutes, au sens strict du terme, des comédies Ce rire là est donc pétri d’introspection, d’angoisses existentielles, de lyrisme ou de romantisme.
Delphine Rivet pour Konbini Biiinge est accompagnée de Marion Miclet du Point Pop, qui se joint à elle depuis l’autre côté de la Manche. Et pour les aider à mieux comprendre les passerelles qui se tissent entre stand-up et séries, elles ont fait appel à un spécialiste : Nico Prat, journaliste et fondateur de la revue Raymond.
Commentaires
J'ai vraiment l'impression qu'ils font la même erreur que Vinyl, que pourtant j'avais beaucoup aimé personnellement mais qui avait un gros problème de rythme, et là c'est pareil. Je pense qu'ils auraient dû faire 10 ou 12 épisodes de 40mn plutôt que 8 épisodes de 1h. Après, comme vinyl, il y a un petit côté "c'est un milieu qui se regarde le nombril", et en gros si t'es pas familier du milieu tu te sens exclu (j'aime bien le stand up US perso, Seinfield, Louis CK, Chris Rock... Sans être un spécialiste, je connais juste ce qui est hyper connu). Ceci dit dans Vinyl ça me choquait moins déjà parce que je suis plus passionné par le rock des 70s, et puis il y avait en plus un intérêt supplémentaire avec une histoire de meurtre et de pétage de plombs, tandis que là non, tout repose simplement sur l'empathie pour les persos. Ça raconte juste une époque à travers eux (ce qui est un parti pris honorable, mais bien plus difficile et là ça prend pas trop sur moi pour le moment). Et dernier petit point Vinyl avait une réalisation au top, c'était magnifique. Ici c'est pas tant la réalisation qui me dérange (plutôt réussie, avec même un joli plan séquence piqué à boogie night lors du 1er épisode d'ailleurs), même la reconstitution des 70s très réussie, par contre la photo et la lumière je les trouve assez laides, cette espèce de flou sorti d'un soap. Je pense que c'est voulu, sans doute pour rappeler l'image télévisuel dans les 70s, mais c'est raté parce que la photo a aussi un côté numérique pas assez traitée, du coup ça rappelle pas une vieille image, ça fait juste moche.