Richard la pensait morte. Mais Siri, l’héroïne de la première saison est bien vivante. Dans l’explosion cataclysmique déclenchée par la destruction de Chorum, la gamine a été catapultée dans la Vallée des Rois. Elle est recueillie par les Khallos, une société où les hommes sont dressés dès l’enfance pour devenir les plus féroces guerriers. Et où les femmes sont reléguées à les servir, et à se reproduire…
Vermin, Peepoodo et Crisis Jung débarquent sur ADN. Ces nouveautés font une nouvelle fois écho à la volonté de la plateforme de partager sa passion en faisant découvrir à ses abonnés un visage de l’animation qui leur serait peut-être encore inconnu à ce jour.
Ce n’est pas la première fois que Bobbypills et ADN collaborent puisque ADN a déjà fait appel en 2021 aux services des artistes du studio d’animation pour la création de ses avatars, fers de lance de son identité de marque.
Crisis Jung est un titre qui ne connaît pas de limites. On retrouve à la création Jérémie Périn, lui-même réalisateur du formidable titre à succès Lastman. Périn a su s’imprégner de l’essence des animés japonais et l’ajouter à ses réalisations tout en l’arrangeant à sa façon. Il met en scène Jung, le héros, qui va tout faire pour retrouver son amour perdu dans un monde dévoré par la violence. Les femmes de cet univers portent la barbe et les hommes sont membrés de tronçonneuses à la place de leur appareil génital. Tout est absurde, ultra-violent et n’a ni queue ni tête mais on retrouve au milieu de ce carnage un brin de philosophie avec un héros qui prend le temps d’apprendre à mieux se connaître ainsi que les autres. Il devra faire face à multiples horreurs pour se reconstruire et retrouver le calme intérieur. Âmes sensibles s’abstenir !