Stuart Macken, ancien coéquipier de Vera Stanhope, vient de vivre un terrible drame : il a vu sa maison incendiée par un criminel alors que sa fille Stella, 18 ans, se trouvait à l'intérieur. Le pronostic vital de la jeune femme est sérieusement engagé. Vera se rend aussitôt l'hôpital afin de soutenir celui qui fut son premier sergent. Mais elle n'ignore pas la personnalité explosive de Stuart. L'homme ne s'est jamais remis de sa rupture avec sa femme, Marianne. Brian Gower, le nouveau mari de cette dernière, fait un excellent suspect. Un ancien professeur de lycée de Stella en fait un autre. Stella semble d'ailleurs être la clé de toute l'énigme...
Diffusée en exclusivité sur OCS, disponible dans les offres CANAL+, à partir du 4 septembre 2025, la mini-série britannique de quatre épisodes dévoilera chaque jeudi soir à 23h une nouvelle étape de son intrigue. Au Pair sera également disponible à la demande dès sa diffusion.
Tout semble sourire à Zoé Dalton, incarnée par Sally Bretton (Death in Paradise, The Office) : un mari riche, deux beaux-enfants charmants, une belle demeure dans le sud de l’Angleterre et une petite entreprise de couture florissante. Mais derrière cette façade idéale, Zoé vacille. Entre un quotidien accaparé, la difficulté de trouver sa place dans une famille recomposée et la charge de son père diabétique George — joué par Sir David Suchet (Poirot) — installé dans une dépendance, la jeune femme cherche un équilibre fragile. C’est alors qu’elle engage Sandrine, une au pair française incarnée par Ludmilla Makowski (Lupin), sans se douter que la nouvelle venue cache une identité trouble et des intentions dangereuses.
Autour de ce duo central, on retrouve Kenny Doughty (Vera) dans le rôle du mari, et Virginie Ledoyen (La Plage, Huit Femmes), qui apporte une intensité supplémentaire au récit. Derrière la caméra, Oonagh Kearney orchestre ce thriller psychologique avec un sens aigu du rythme et des atmosphères. La série explore les tensions invisibles qui minent les foyers apparemment parfaits, dans la lignée de Mon amie Adèle ou Liar, où chaque épisode fait monter d’un cran la paranoïa et le doute.