Si Angela mène une vie idyllique en apparence avec son mari Olivier, elle dissimule en réalité les violences qu'elle subit au quotidien. Un jour, un détective privé vient à sa rencontre et lui divulgue les plus sombres secrets de son mari. Doit-elle le croire ? Est-elle prête à se libérer de l'emprise d'Olivier ?
La mini-série Last Light adaptée du roman d'Alex Scarrow, a été diffusée outre-Atlantique sur Peacock et débarque enfin sur Prime Video en France. Son synopsis est simple : Votre famille. Votre monde. Et si tout cela disparaissait demain ? Si la société s'effondrait, jusqu'où iriez-vous pour sauver ceux que vous aimez ?
Et ce début d’effondrement commence quand une exploitation pétrolière à Abu Dhabi semble avoir été compromise. Carburant frelaté ? Au cœur de l’intrigue, la famille Yeats. Le père Andy est pétrochimiste et a été appelé directement sur le site de l’exploitation pour comprendre ce qu’il se passe. Parallèlement, sa femme amène leur fils à Paris pour subir une opération chirurgicale qui pourrait lui sauver la vue. Tandis que leur fille aînée est tranquillement chez eux en Angleterre. Une histoire dispatchée sur plusieurs pays nous attend. S’ensuit une série de catastrophes d’ordre mondial allant de voitures qui explosent à des coupures généralisées d’électricité qui pourrait bien mener à la fin du monde, rien que ça.
Les éco-thrillers sont à la mode, le changement climatique étant l'une des angoisses les plus présentes des jeunes générations. C’est l’occasion de revenir au festival de télévision de Monte-Carlo où la série était présentée en avant-première avec ses deux premiers épisodes et où certains membres du casting étaient présents. Joanne Froggatt qui interprète la mère de la famille Yeats, a partagé sa vision de Last Light avec nous.
Commentaires (7)
Se laisse regarder mais pas franchement crédible 😌
Se lasser d’une belle série comme ça me semble difficile alors que la fin de l’épisode 3 est prometteuse
Lassée au bout du 3ème épisode !
Bon Thriller, un peu téléphoné mais le suspens est là.
Le racisme, la tolérance, L’amour des autres, la solidarité, la violence envers les Femmes sont des causes nobles. Si critiquer une série parlant de ces thèmes, alors la personne est automatiquement un monstre ou un nazi. Et pourtant, je vais oser. Angela Black est une caricature de série sur les Femmes battues : Il faut un mec qu’il faut haïr (parce qu’il est froid, inhumain), une Femme fragile innocente (parce qu’elle est automatiquement la blanche colombe), la scène de violence (parce qu’il faut montrer jusqu’où il est capable d’aller), La lente descente aux enfers de la Femme (parce que l’Homme est calculateur et machiavélique), la remontada (parce que la Femme est forte et courageuse) puis le Happy end (car dans ce monde pourri, le bien triomphe toujours du mal). Toutes les cases sont cochées. On tourne, on monte, on diffuse.
La série est diffusée sur OCS
le 10 Octobre sur ITV ! https://www.youtube.com/watch?v=MW_ZkMXxrJY