Vieillerie de 1991, avec Takeda Tetsuya (chanteur folk populaire au Japon) à contre-emploi. Les scénaristes font subir 101 calamités à notre héros, qui, philosophe et bon gars, les encaissera sans piper mot. Un exercice masochiste qu’on regarde assez vicieusement : jusqu’où ira-t-il pour se faire accepter par cette peste snob qui a de bonnes raisons mais le fait tourner en bourrique ? Daté au niveau de l’image et de la mise en scène mais mécanique très efficace. Bien plus piquant que son remake coréen de 2006.
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Vieillerie de 1991, avec Takeda Tetsuya (chanteur folk populaire au Japon) à contre-emploi. Les scénaristes font subir 101 calamités à notre héros, qui, philosophe et bon gars, les encaissera sans piper mot. Un exercice masochiste qu’on regarde assez vicieusement : jusqu’où ira-t-il pour se faire accepter par cette peste snob qui a de bonnes raisons mais le fait tourner en bourrique ? Daté au niveau de l’image et de la mise en scène mais mécanique très efficace. Bien plus piquant que son remake coréen de 2006.