Le 21 mars 2002, John Darwin est porté disparu en mer du Nord. Il a été aperçu pour la dernière fois pagayant, au large de Seaton Carew (nord-est de l’Angleterre) où le couple réside. L’hélicoptère et les cinq bateaux de sauvetage lancés à sa recherche retrouveront une pagaie, un canoë rouge à la dérive, mais pas son occupant. Et pour cause, John Darwin est déjà sur la terre ferme, bien au sec. Car pour toucher l’assurance-vie et se refaire une place au soleil, lui et sa femme ont monté une incroyable machination, mentant même à leurs propres enfants.
Tout comme Landscapers, La disparition de John Darwin s’intéresse à un couple plus mûr, qui traverse une crise. Sauf que la crise est une arnaque à l’assurance orchestrée par le mari. Il s’agit de l’adaptation du roman Playing Dead, par l’autrice Elisabeth Greenwood qui s’inspire donc d’un fait divers réel qui s’est déroulé en Angleterre. Porté mort après un accident de canoë survenu en 2002, la veuve de John Darwin a pu toucher son assurance-vie d’un montant de 250 000£. Seulement voilà, le défunt aurait été vu en compagnie de sa femme quelques années plus tard…
La mini-série en quatre épisodes a été récompensée lors du Festival Marseille Series Stories du prix de la Meilleure série adaptée d'une œuvre littéraire et également du prix d'interprétation pour l'actrice Monica Dolan. Elle est diffusée sur Polar+ et sur myCanal depuis 23 janvier.
Commentaires
Mouais..... bof.... à regarder si on a une grippe un dimanche après-midi hivernale