The Wind Blows

La série en soi est bien faites, mais l'attitude des personnages est ce qui me dérange. C'est plus un clash de différences culturelles et de valeurs, donc j'ai personnellement de la difficulté à passer par-dessus et à l'accepter.

Interminable mélo dont la seule ligne dramatique est la maladie et son impact sur la famille et les amis. C’est bavard, explicatif jusqu’au démonstratif (dialogues et musique), mis en scène sans grande originalité, et financé ostentatoirement par Coffee bay et l’église chrétienne de Corée. On boit la lie de la maladie d’Alzheimer et l’agonie sacrificielle des proches étape par étape, avec un patient idéal, docile et peu violent, dont les pertes de mémoire suivent une chronologie à rebours admirablement scénaristique. Les deux/trois premiers épisodes sont complètement ratés, essayant de glisser de l’humour à des moments improbables. La storyline de Ye Rim et Min Shik (2nd lead) sort de nulle part, je me suis demandé tout du long si je finirais par y trouver un intérêt : en vain. En revanche j’ai apprécié les jeux de Kam Woo Sung, toujours solide, et surtout de Lee Jun Hyuk, qui pour une fois n’a pas un rôle d’ordure ou de mec méprisable. Sa storyline de meilleur pote abandonné m’a plus fait chialer que celle de l’épouse. Prévoir les mouchoirs.