En 1991, dans la petite ville de Castle Rock, le shérif Alan Pangborn enquête sur la disparition de Henry Deaver, un garçon de 11 ans. Plusieurs indices l'amènent à poursuivre ses recherches près d'un lac gelé. En 2018, Theresa Porter remplace le directeur de la prison de Shawshank qui vient de se suicider. Dans le bloc F du pénitencier censé être abandonné, Porter découvre un mystérieux détenu. Ce dernier répète inlassablement un nom : Henry Matthew Deaver.
Surfons sur les années 70 dans une histoire d'exploitation pétrolière sur la côte norvégienne, puis continuons dans les décennies suivantes avec un braqueur de banque suédois pour revenir dans une comédie romantique contemporaine dans cette reco du weekend.
Présentée à Canneséries en 2018, State of Happiness est un drame historique norvégien en huit épisodes qui met la lumière sur une période qu’on ne connait pas très bien. Dans la petite ville côtière de Stavanger, quatre jeunes gens issus de milieux différents voient leurs vies bouleversées par la découverte d’un gisement pétrolier. Fils et filles de patron, d’ouvrier, mais surtout ami·e·s, nos protagonistes vont voir leurs liens entravés et leurs rêves se briser. À la fois un rite de passage vers l’âge adulte et un récit dramatique, State of Happiness met en scène ce moment de ruée vers l’or noir en mer du Nord et sa manne financière.
La BO purement des années 60 et 70 fait du bien aux oreilles, et le soin porté aux décors et aux costumes est un vrai plus. La série écrite par Mette M. Bølstad (Nobel) arrive à capter cette période de transition des pays nordiques entrant dans la vie moderne et se tournant plus vers les États-Unis. La saison est disponible sur arte.tv.
Commentaires (12)
John Locke visiblement c'est pas trop son délire la vie dans le Maine.
Intriguant, un peu mystérieux, en tout cas pas à me scotcher les fesses sur la chaise. J'ai davantage l'impression d'avoir affaire à un thriller qu'e de l'horreur. A voir par la suite.
Pas ouf du tout.... y a aucun élément d’intrigue qui pourrait donner envie de continuer, les acteurs sont tous bons (et connus ! Je pensais que Sissy Spacek était à la retraite !) mais y a franchement rien d’interessant... même la réal est pas dingue
Très bon pilot plein de mystère...je continue
De bonnes choses... une mise en scène de qualité et un casting 3 étoiles.... je poursuis !
Très mystérieux tout ça. Le retour, bref ? de John Locke. J'ai hâte de quel sera le rôle de Melanie "Rose" Lynskey. Je ne l'avais pas vu depuis two and a half men et en une semaine je tombe sur elle dans cette série et dans I don't feel at home in this world anymore.
Pilote plutôt bon. On ressent assez bien l’ambiance mystérieuse et anxiogène de Stephen King.
Quand j'ai lu que c'était une anthologie j'ai cru qu'on aurait une intrigue et un univers différent à chaque épisode. Ce ne sera pas le cas et c'est bien dommage. Car après ce premier épisode je reste sur ma faim. L'ensemble est finalement assez peu anxiogène, le rythme est mollasson et l'intrigue générale ne suscite qu'un faible intérêt chez moi. Je regarderais le prochain épisode pour voir comment cela évolue mais si on reste sur les mêmes bases je supprimerais sans regrets
1er épisode tout commençait bien, Terry O'Quinn (Locke). Intriguant comme série. J'ai adoré.
J’ai bien apprécié ce pilote et l’histoire qui en découle. Je ne le trouve pas lent comparé à d’autres séries. Ça s’installe petit à petit disons. J’ai hâte de découvrir ce qui est arrivé à Henry petit et qui est le mystérieux inconnu retrouvé dans la cage.
Donc clairement le suicidé du début était lié au prisonnier en cage et à Henry Deaver... C'est un peu lent pour un 1er épisode.
A voir par la suite. Ça s'installe doucement